Quelque part au Canada...

L'étourdissement vient avec une appréhension. Ca ne peut pas être Morayeel qui a essayé de tuer un Folayann, il est pas inclu dans le contrat lui. Donc, ca ne peut être Elthiriel, parce qu'elle est au courant et qu'elle ne ferait rien qui le foute en danger. Les deux de Crystal et Les Phoenixs feraient rien non plus. Il s'en est assuré. Il ne reste qu'une seule option.

Xoramen. Comment fait il pour savoir ou ca c'est produit? De la même facon que l'on sait où ca nous gratte. Les trucs d'apocalypse seront pour plus tard. Il bondit comme s'il était assis sur un nid de frelons, puis se dirige aussi rapidement que son absence d'yeux sur un terrain inconnu le lui permet. Il en trébuche même légèrement.

Ramène moi... Maintenant. L'hopital St-Bartholomew a Londres. Tu connais? Sinon le plus proche...

Xoramen est foutuement plus importante que Samuelle, foutrement plus importante que sa propre vie... Comment les Phoenixs ont ils pu oublier l'hopital? Le frère d'Yseult y est et a recu le signalement. Il les auraient avisés.



Il compose un texto à Elz. C'est sa seule facon de communiquer après tout. On ne fait pas de miracle quand on n'a pas de langue.

Adam se rapprocha d'Halewyn sans répondre à sa question... Jamais vu quelqu'un d'aussi obtus et mal embouché... Il l'attira à lui, rapidement.

!

---> en direction de...

Quelqu’un bougea…

Allongé au sommet d’une pile de bois, partiellement dissimulée par un lot posé de travers, Samuelle entendit ce qui ressemblait au crissement du gravier. Elle se figea, mal à l’aise… Elle n’était pas seule à se dissimuler dans la pénombre de ce croissant de lune. Silencieusement, elle contrôla sa respiration et se força à la détente pour contrer le moindre risque que crampe musculaire provoquée par sa position inconfortable et le froid. À une certaine distance, ses vêtements se confondait avec la fibre des planche mis à sécher, elle passerait pour une bâche mal assujettie. Mais de près, sa ruse ne supporterait pas la moindre inspection.

Le jeu du chat et de la souris… Se réfugier dans cette cours à bois avait paru une bonne idée sur le moment… Mais son fileur n’était pas là pour s’amuser… Elle ferma les yeux comme Halewyn le lui avait appris pour affiner ses autres sens. Samuelle avait depuis longtemps dépassé le moment où un autre aurait conclu qu’il avait imaginé le bruit entendu plus tôt… Ce qui avait ressemblé à un bruit de pas était sûrement un rongeur se baladant furtivement au crépuscule… Cependant la métisse restait toujours immobile parce que son instinct lui disait que tout danger n’était pas écarté.

Sa persévérance se trouva récompensé quand un léger raclement suggéra une étoffe s’accrochant à la fibre grossière du bois. Ses doutes firent place à la certitude désagréable que quelqu’un était entré à sa suite dans la cours…

Samuelle sera les dents et souhaita avec ferveur de survivre à cet affrontement. Celui qui l’avait suivit ne l’avait pas fait pour des raisons innocentes.

Grelotant dans la fraicheur de cette nuit d’avril, Samuelle repassa de mémoire chaque pas et chaque geste qui l’avait menée jusqu’ici. Elle ne s’était pas montrée imprudente.

La personne qui l’avait prise en filature était douée. Elle avait essayé de le semer à trois reprise, transplannant dans les bois… Seule une vigilance quasi obsessionnelle lui avait permis de deviner la présence. Selon ce que Samuelle avait pu déterminer, ils étaient 4 à s’être lancé sur sa piste. Ce n’était pas Adam… Ils étaient superbement entraînés, coordonnés. Samuelle jura intérieurement. Elle avait maladroitement mit le pied dans le genre de piège qu’elle dressait elle-même.

L’obscurité était trop profonde pour qu’elle devine où se cachait son ennemi. Lentement, imperceptiblement, Samuelle tendit la main pour tirer sa baguette de son soutient gorge. Maladroite avec les armes, elle avait toujours eux un don extraordinaire pour la baguette. Une Légende de l’ICMAC. Si elle parvenait à voir sa cible… Malheur à lui…

À l’autre bout de la cours, la clanche d’une cloture d’acier retentit alors qu’un deuxième adversaire se glissait dans la cours. L’espoir s’évanoui. Le temps de lancer un sortilège à l’un et elle servirait de cible au deuxième. De la lumière surgit… Une bonne gross torche Dell D. La situation de la belle métisse devint beaucoup plus critique… Le nouvel arrivant ne pourrait manquer de l’apercevoir en passant près d’elle.

Sans alternative, Samuelle tâtonna pour évaluer l’espace entre les lots de bois. Parce que le bois mit à sécher a besoin d’une circulation d’air pour respirer et éviter l’incendie. On n’avait pas coutume de se montrer généreux dans cette scierie… Le vide qu’elle trouva était très étroit. Le bruit de pas progressait dans sa direction. S’étirant de tout son long, elle s’y laissa tomber, des échardes des planches brutes se logèrent dans sa peau impitoyablement.

- Par ici…
- Aucun signe de Rôdlanuit?
- Aucun. Elle porte bien son nom celle-là… J’ai cru entendre quelque chose il y a quelques temps mais ce devait être une miquette… On est en plein bois ici…
- Elle est forcément dans le coin… Restons jusqu’à l’aube, je ne veux pas être celui qui dira à Soufflesbraises qu’elle s’est échappée…
- C’est ridicule… même Sillage n’est pas si radical…
- Détrompe toi…
- Ah ouais?
- Ouais…
Ils étaient doués mais ils bavardaient… Suffisament rassuré pour s’ennuyer.
- T’as entendu la rumeur? Que Morayeel Sampiero serait caché au manoir Rosctone…
- Malédiction…
- Si c’est vraiment le cas, alors ils ne prendront plus le moindre risque…
- Ils vont la tuer…
- Ou le tuer lui…
- Lui?
- Il est quand même plus facile à tuer qu’elle… Elle n’est même pas vivante!
- Bien sur qu’elle est vivante…
- N’empêche…

La nuit passa et un nouveau crépuscule vint… Avec le matin, des claquements de porte de voitures sur la route toute proche, une équipe de trieur envahissant la cours… Samuelle ne parvint pas à distinguer les paroles étouffées par le bois mais ses agresseurs réagirent immédiatement se déplaçant à la périphérie de la cours. Elle entendit leur pas décroissant. Très probablement en train de s’enfuir… S’enfuir ou s’embusquer pour voir si leur proie se dévoilerait en les pensant partis.

Samuelle resta encore longtemps immobile, en proie à une hypothermie légère, les doigts gourd de froid, percluse de courbatures, jusqu’à ce qu’elle soit certaine que tout danger était écarté. Elle se tortilla pour se libérer et réalisa que ses large épaule était complètement coincée, ses bras au dessus de sa tête, ses jambe ayant glissé dans le vide, elle ne pouvait se dégager. Piégée. Elle appuya ses coudes contre le lot de bois. L’espace s’élargit légèrement, ce qui la fit tomber plus profondément dans l’interstice. Elle se râpa les fesses contre les planches et y gagna de nouvelle écharde. Jurant silencieusement, elle continua à pousser et glissa inexorablement au fond du trou, perdant tout espoir de s’extirper discrètement de sa cachette.

Il lui fallu faire basculer un lot de bois dans un fracas assourdissant pour parvenir à s’extirper de sa cachette… Les crampes et l’épuisement ne lui permirent pas de se sauver gracieusement. Elle n’arriva à transplanner que de peine et de misère dans un alambiqué.

--> en direction de...

Sur une route de gravier isolée, du gros 1-¾ calcaire concassé, la vitesse du véhicule qui fonce dans la nuit n’a pas vraiment d’importance… À partir d’une certaine limite ‘beaucoup trop vite’ décrit parfaitement sa célérité. Ce n’est ni une voiture sport ni un de ses gros véhicules utilitaires réputés pour tenir la route dans n’importe quelle condition. Bêtement une solide camionnette avec un moteur puissant, beaucoup trop puissant. Trop puissant ? Le chauffeur négocie les courbes de la route sans se soucier d’empiéter sur l’autre voie. Aucune maîtrise ne peut plus l’aider, le gravier roule sous les pneus, il n’y a plus aucune adhérence et la camionnette valse un instant avant de basculer dans le fossé. L’impact agit comme une rampe de lancement et le véhicule fait plusieurs tonneau, heurtant le sol à 3 reprises avant de s’encastrer dans la bordure forestière.

Les explosions, c’est seulement dans les films.

La poussière de la route retomba, les hautes épinettes violemment ébranlées retrouvèrent leur immobilité indifférente. Un lièvre inquiété retourna à ses petites affaires de lièvre. Même les étoiles s’en fichaient, brillant froidement dans la nuit. Parce que les étoiles sont toujours cruelles.

Une brise soudaine gronda dans la forêt… La nuit s’épaissit. Le froid devint plus mordant. Comme un profond désespoir au cœur de l’hiver. La peur devint tangible et Samuelle se matérialisa en bordure de la route. Elle n’avait jamais été réputé comme particulièrement charitable. Sautant par dessus la calvette, elle rejoignit le véhicule et s’appuya contre la portière pour forcer le rétroviseur à lui rendre son reflet. « Hum… » De sa poche, elle repêcha un tube de gloss et s’en tartina délicatement les lèvres. « Voilà qui est mieux… Tu sais… Je comprends… À ta place, Sevean, j’aurais essayé, moi aussi… Sauf que t’avais affaire à moi… T’avais aucune chance mais je ne voulais pas te tuer sans te laisser le moindre espoir… » Elle tourna enfin son regard à l’intérieur du véhicule accidenté. « Bon vent, bonne route… »

Dans l’immensité de la forêt boréale, les silhouettes des épinettes noire dessinent des dents pointues sur la voûte étoilée. Tout en bas, sur une rive sableuse d’un bras tranquille de la rivière, un bivouac a été dressé. Sous les braises du feu, emballée dans de l’écorce de bouleau, cuit à l’étouffé un saumon fraîchement pêché. Les mouches n’ont pas encore écloses. Les trois comparses qui salivent auprès du feu ont le cœur réjoui, ils célèbre dans l’alcool cette belle nuit d’été.

Mi dieu mi bête, le Wendigo rôde... Il attend d’être évoqué…

Le vent soulève ses cheveux fins. Quel vent? Celui qui fait lentement se balancer les cimes… Accroupie à la lisière de la forêt sur l’autre rive, on distingue le reflet des flammes dans ses yeux jaunes. Elle ne se cache pas, bien au contraire, elle attend d’être découverte.

Elle incarne la peur et la folie…

Un vieil instinct animal reste en chacun de nous : Celui de la proie qui se sait observer. Comme une nervosité qu’on ne s’explique pas. Communicative… Cloete broncha le premier, alléguant que le temps s’était rapidement refroidit. Le silence prit de la consistance. Florence gloussa nerveusement en se rapprochant de lui et Joël, alarmé, se retourna soudainement pour scruter les ombres dans le silence qui s’était installé.

Le vent… Le vent gronde dans la forêt. Les étoiles brillent plus froidement, distantes, la nuit s’obscurcie. Cloete la vit le premier, pointant une main dans sa direction. Là!Alors Samuelle sourit et de leva lentement, marchant vers eux, s’avançant dans l’eau.

Le vent forcit dans la forêt, ridant la surface miroitante de l’eau. Quelque chose de formidablement gros se tenait dans son dos, informe, plus grand que le plus grand arbre de la forêt. Le mal se forma sur les lèvres tremblantes de Florence, dans son souffle haché par la terreur : Windigo…

Samuelle lança alors son cri, un appel à l’abîme et à la sauvagerie.

Ils fuirent, s’éparpillant dans la forêt.

2 mai, à la fin de l’après midi… ou au début de la soirée… (simultanément à l'affrontement au manoir)

Samuelle avait toujours eut peur des chiens… Celui là était à la race canine ce que le lion des sables avait été à la race féline. De tels monstres n’existent pas mais on les désigne tout de même par ChaosDogs.

La bête bondit hors des ruines et atterri au beau milieu d’un éboulis de pierraille. Les sortilèges ont claqué. Samuelle était redoutable en duel. L’essence même de la perfidie. Au chapitre des coups tordus, elle avait de qui tenir, vu toutes ces années à dormir près de la cheminée d’Oncle Paul. Le monstre chargea malgré tout. Samuelle plongea sous un renversé. L’animal fonça droit dessus et franchit l’obstacle d’un bond. Sa fourrure fumait et ses poils étaient hérissés de magie. De l’entrelacement des branches et des troncs, la métisse persévéra dans sa défense, lui balançant sortilège après sortilège, à bout portant. Il ne parut pas les remarquer continuant à hurler comme tous les loups au monde réunis, cherchant à l’atteindre, à la lacérer, à la tuer.

Et bientôt ses adversaires qui avaient lancé la bête sur sa piste furent là. Trois notes brèves au sifflet et l’animal fût rappelé. Samuelle les salua d’une volé d’insultes et incapable d’admettre sa capture, tenta de fuir une nouvelle fois.

Les sortilèges la submergèrent.

Samuelle bascula, cul par-dessus tête dans l’amoncellement de débris et roula au sol. Elle eut quelques secondes pour faire le point astronomique avant qu’une violente averse de coup ne la plonge dans l’inconscience.

Elle aurait du laisser le chien la tuer… Eux la voulaient vivante…

Parmis les sortilèges qui plongent Samuelle dans l'inconscience, le d'un transplanage passe inapercu. Entre Halewyn et les assaillants se trouve le corp de Samuelle Daee qui est en train de bouler cul par dessus tête.

En mode chasse, Halewyn ne pense plus du tout. On pourrait lui prêter un coeur noble et lui faire dire qu'il ne pense qu'au corp de sa ... coéquipière, mais ca serait faux. Il n'y a que des odeurs, que des vibrations... La chaleur d'un coeur qui bat, l'odeur du sang, l'odeur de la curée. Il passe une main sur la pointe de la flèche, s'entaillant légèrement sur la pointe barbelée. Pointe qui prend un rouge sombre et vibrant.

Avant de s'enfoncer directement dans la gorge de l'assaillant le plus proche. C'est alors qu'une série de résonne sans pitié dans les sous bois. Après, c'est l'anarchie. Un chaos organisé mis en valeur par la flèche qui explose, décapitant littéralement le malheureux qui se l'est recu en pleine gueule. Coups de feux, sortilèges et le tigre qui bondit sur le chien qui, aux yeux de la druidesse noire, est une aberration, flèches explosives et dagues de lancer rendent la scène surréalite.

Se mouvant en apparence n'importe comment mais avec un ensemble parfait, ils ouvrent le chemin à l'enfant soldat tout en prévenant toute tentative de transplanage par un feu nourri.

Les prunelles grises rougeoyants légèrement, Halewyn est simplement heureux à la manière des bêtes. Il chasse.

Edit Vip : J'ai enlevé les trop nombreux retour à la ligne qui bouffaient la page.

Ils étaient quatre dont 3 asservis.

Le boisé résonne des cris d’excitation des chasseur. Parce que tous les chasseurs n’usent pas de discrétion. Certain use de la peur. Les asservis sont de ceux là. Ça n’avait pas été facile mais tout de même, ils y étaient arrivés, eux. Le maître et le chien restèrent en retrait. Les cadets savent garder leur place… Les trois asservis descendirent la colline et si l’un d’eux s’arrêta à mi parcours, observant une saine réserve pour couvrir leur arrière, les deux autres s’approchèrent du corps, de part et d’autre.


- Comment va-t-elle?
- En pleine forme…
- C’est elle? T’es certain? Bon sang, comment peut-elle être si jeune?
- Tu ne veux pas le savoir… C’est elle… C’est un démon…
- Arrête, elle n’est pas un démon…

Celui qui s’était accroupit lui tapota les joues. Puis ce fut le chaos…

- Aaarggrwwerrl…

La moêlle épinière sectionnée par la flèche, l’homme s’effondra sur place avant que sa tête n’explose avec la flèche… Les phoenix et l’assassin furent arrosé d’une pluie de projection sanguignolante. Une riche odeur de sang leur chatouilla les instincts.

- Richepin? Richepin!!!

Prévenir toute tentative de transplannage? Et puis quoi encore… On est dans Final Fantasy peut-être? Le métisse empoigna Samuelle par sa veste et la renversa sur lui pour se faire un rempart de son corps. Ils n’oseraient pas tirer sur elle… Elle était ce qu’il y avait de plus précieux… !

L’aîné fit volte face pour courir prêter main forte à son cadet mais fut atteint par un projectile à l’homoplate, suivit de quelques autres. Le tigre? Le Chaosdog broncha à peine… Contrairement à son maître qui s’écarta d’un bon paniqué. La bête déchira la gorge du tigre d’une morsure presque indolente et envoya valser la carcasse. Cette vieille rivalité félin-canin. Le maître de l’animal étendit le bras et balança des sortilèges offensifs à Emma, dont plusieurs Avada Kedavra. La dernière vision qu’on eut du métisse, c’est son chien, se levant sur ses antérieurs pour poser les pattes sur ses épaules, et !

Ailleurs au Canada…

-!

- Bon sang, qu’est-ce que c’était?
- Je sais pas, des assassins…
- Transplanne encore, s’ils sont venus à son secours, ils peuvent la localiser…

!!

Encore Ailleurs au Canada…

CLACLAC!

- Et pour Christophe?
- On ne peut pas aller le chercher…
- Pourquoi?
- Parce que je crois que j’ai reconnu Coeurd’acier…
- Qu’est-ce qu’elle fout avec ce type?
- C’est le père de sa fille, il doit la protéger également… Transplanne!

CLACLAC!

Et ailleurs au Canada…

- On pourra pas la garder, faut la planquer quelque part!
- On sait même pas comment il nous retrace…
- Faut aller quelque part où il ne peut pas nous suivre!
- Comme quoi?
- Humm?
- Une sombre sente!

Une seconde après que Truc ait transplané, une demi seconde avant que un amas de projectile lui aurait défoncé la gueule, Hale jure comme un charretier avant de baisser son arc. Les prunelles rogeoyantes s'éteignent, deviennent gris foncé.

Vos gueules...

Dit il, fermant les yeux. Samuelle Daee , il la sent transplaner encore et encore... Ca lui fiche la nausée en fait. L'idée du sang, c'est Muelle elle même qui la lui a donnée, voilà longtemps, quand elle lui avait fait cadeau d'une pierre qui lui permettait à elle de savoir comment le localiser lui. Si il a jamais su comment une garnotte marchait, le sang n'a pas de secret pour lui. Et ca transplane encore.

Chrono?

Ca fait 1 minute 15.

On va aux roulottes. Cavalcade y est. Yavait des morts au domaine, allez me chercher les lances flammes au cas où.

Dans un Clac parfaitement synchronisés, les 5 transplanent.

Les yeux toujours fermés, seul, Halewyn se tend (son esprit) en deux. Xoramen et Samuelle... Putain... Pas que c'est difficile choisir, il est capable de les sauver toutes les deux (oui il est arrogant le mec). Il y a un dernier transplanage... Qui lui fait froncer les sourcils.

Silence, Lame... Changement de programme. Allez avertir Léandre que sa mère a besoin d'elle... c'tune question de temps... Soyez archis prudents. Jla sens pas.

Pourquoi ces deux là? Ce sont les plus appréciés de la jeune fille.

Chrono?

1min 46.... 47

Et parce qu'il se l'était promis, Halewyn transplane là où est Xoramen, en retrait, dans les ombres. Prêt à toute éventualité. Insatisfait.