Le splendide Loft de Derek et Maelya

Avec un sourire tout ce qu'il y a de plus amusé, Dorian suit attentivement l'épisode.

Si c'était possible de... faire un peu attention au bruit ...? Je m'inquiètes pour la production du disque... Si je suis fatigué, ma voix ne rapporteras rien ma précieuse...

Roulement de yeux au plafond, il fait mine de se pendre avec sa cravate. Dans le dos de Derek, quand il part, il y a un fugace changement d'expression, les prunelles deviennent momentanément aussi dure que des diamants noirs. Avant de reprendre son air affable.

Non mais quel crétin. D'un ton moqueur:

Juste pour ca, j'aurais envie de faire la fête toute la nuit. Lui, il va finir comme Broutme Please ( Britney Spears)...

Il fixe Maelya soudainement, une pensée s'insinue dans sa tête. Elle n'a pas besoin d'avoir l'air si parfaite en tout temps. Il est décu de sa superficialité.

Maelya mse marre. C'était volu qu'il soit beau. Si les filles n'aimaient pas ses paroles de chanson elles allaient aimer son corps, ses yeux, son regard. Et Maelya était visiblement partie, juste la manière qu'elle se tenait contre Derek et qu'elle l'embraissait dans le cou. Il lui pa«rlait de son besoin de sommeil...Maelya roula les yeux. Il avait raison mais...

Maelya lui parla sur un ton doucereux....

''Mais ça fait 5 ans que je ne les ai pas vue...met au piiiiiiiiire tes bouchons et un masque...pour moi...''

Vélane quand tu nous tiens...Et Derek retourna vers sa chambre. Maelya jetta un regard aux invités qui faisaient des mimics...

''Vous êtes pas drôle, dit-elle en éclatant de rire et en se bêchant sur Derick...

Juste pour ca, j'aurais envie de faire la fête toute la nuit. Lui, il va finir comme Broutme Please


''Et c'est toi qui dit ça...''

Maelya était dans une tentative de se lever...pas aussi parfaite... En ce moment, elle avait plutot l'air de la rockstar déchue qui planait un max sur une substance bizarre.

- Oh, il chante demain ? J'peux y aller ? S'il-vous-plait ! supplie-t-elle, les mains jointes en prière.

Mais visiblement, personne ne porte attention à sa demande. Elle abandonne rapidement. Elle siffle la bouteille et se sert à même le goulot. Ry est vachement en forme. Si Maelya tente de la lui prendre, elle va la garder hors de sa portée en prétendant que c'est pas bien avec les anti-douleurs. Ry est égocentrique.

- Juste pour ca, j'aurais envie de faire la fête toute la nuit. Lui, il va finir comme Broutme Please...

Ry jette un oeil dans la direction où Derek a disparu, puis secoue la tête et dévisage Dorien, comme s'il était un extra-terrestre.

- Impossible, monsieur plein de fric, annonce-t-elle, d'un ton le plus docte possible quand on a un taux éthylique assez élevé. Derek, c'est un homme... il pourra pas faire la manchette à cause de ses gosses... Maelya, par contre... mais a chante pas, elle. Un doute passe dans son regard. Tu chantes, Mael ? demande-t-elle avant de reprendre une lampée de vodka.

- Mais ça fait 5 ans que je ne les ai pas vue... mets au piiiiiiiiire tes bouchons et un masque... pour moi...

Roulant les yeux, dos à tout ce monde dans son salon, il hausse les épaules, exaspéré... Pour elle ?... C'était pour elle qu'il voulait dormir... Et maintenant, c'est pour elle qu'il devait trouver une manière de dormir malgré le bruit... Il referme la porte doucement derrière lui, pour étouffer le bruit.



- Vous êtes pas drôles.
- Si on l'est ! La preuve, tu rigoles !

Lance le jeune homme en empêchant Maelya, toute étourdie, de descendre jusqu'au plancher et de se fracasser la gueule sur la céramique.

- Juste pour ça, j'aurais envie de faire la fête toute la nuit. Lui, il va finir comme Broutme Please.

Il éclate de rire, portant les mains à sa bouche pour terminer le tout dans un ricanement un peu bête digne d'un adolescent attardé.

- Broutme Please ! Fort le surnom !
- Et c'est toi qui dit ça...
- Impossible, monsieur plein de fric, Derick tourne la tête vers sa cousine qui manifestement, en pince pour le p'tit chanteur pop, Derek, c'est un homme... il pourra pas faire la manchette à cause de ses gosses... Maelya, par contre... mais a chante pas, elle. Tu chantes, Mael ?

Rick sourit et aide Maelya à se redresser, l'assoyant à côté de lui et dépoussiérant ses vêtements, bien qu'ils ne soient pas sales, c'est une excuse facile pour lui frôler les poitrine et toucher ses courbes de manière subtile... enfin presque.

- Ry, arrête ton char, on a compris qu'il te donne des fourmis cet imbé-... Cet innocent agneau du showbizz Disnéen.

Dit-il avec un sourire moqueur, à la limite du cruel.

Pervers... Pense moins fort au moins, l'autre va t'entendre.

Répond le légilimens, pince sans rire.

Elle roule des yeux, tout en regardant la bouteille et en se questionnant sérieusement sur la question "Est-ce que mon estomac va en supporter d'avantage ?" La réponse est non. Néamoins, elle garde la bouteille. Pas question que Rick se la fasse toute seule. Et le monsieur plein de fric veut pas que Mael en prenne. Alors mieux vaut qu'elle la garde.

- Ry, arrête ton char, on a compris qu'il te donne des fourmis cet imbé-... Cet innocent agneau du showbizz Disnéen.
- Wais... c'est à ça qu'il sert non ? Faire fantasmer les filles. Oh... constate-t-elle en se retournant vers eux et en ouvrant largement les bras. Je suis normale !

La normalité, chez Ry, c'était quelque chose de très abstrait. C'était faire comme les autres. Ry n'a jamais rien fait comme les autres. À 21 ans, elle avait travaillé plus longtemps dans le milieu magique mystique que d'être allée à l'école. Elle avait bavardé plus souvent avec des créatures magique qu'avec des humains, son père et son cousin excepté. Elle avait escaladé l'Evrest, parcouru des grottes profondes et plongé dans des récifs multicolores. Elle se baladait en changeant d'apparence sans arrêt et son passe-temps préféré, c'était de traduire des écrits runiques la plupart du temps qui n'existaient plus... le seul temps qu'elle s'accordait pour faire la fête, c'était quand elle mettait les pieds à Londres. Qu'elle craque pour un icône de beauté masculine, comme des millions de filles, eh ben ça la rendait normale.

La jeune adulte avait du mal à se redresser et toute l'excitation de Ry' lui donnait le tourni. Elle se rendit même pas compte que Derick la touchait. Elle avait les yeux à peine ouverts. C'était l'effet habituel des cachets. La raison pour laquelle elle nen prenait jamais au travail. Au moins ils étaient efficaces. Elle ne ressentait aucun mal. D'ailleurs sa tête vacsilla sur l'épaule de Derick. Morphé venait la chercher tranquillement...

- Pervers... Pense moins fort au moins, l'autre va t'entendre.
- Pervers ? MOI ?

Lance Derick l'air faussement outré. Il est un sale petit porc, il le sait depuis longtemps. Cette vie lui a toujours plu, quoi qu'on en dise...

- Wais... c'est à ça qu'il sert non ? Faire fantasmer les filles. Oh... Je suis normale !
- Ça arrive parfois, ça va te passer, tu vas voir.

Ricane t-il en lui arrachant la bouteille des mains pour en enfiler deux longues gorgées grimaçantes... Puis il lève les yeux vers Ryleigh avec un sourire moqueur.

- Puisque c'est un fantasme, pourquoi tu vas pas l'assouvir ? C'est sa dernière nuit de "célibat", fais lui en voir de toutes les couleurs, Mael' est bien trop finie pour t'en empêcher.

Explique t-il en haussant les épaules, passant une main absente dans les cheveux noirs de la Vélane.

- Ça arrive parfois, ça va te passer, tu vas voir.

Elle roule des yeux, encore une fois, avant de se laisser tomber dans un fauteuil en bougonnant.

- Puisque c'est un fantasme, pourquoi tu vas pas l'assouvir ? C'est sa dernière nuit de "célibat", fais lui en voir de toutes les couleurs, Mael' est bien trop finie pour t'en empêcher.

Elle se redresse un brin et jette un oeil vers la porte qu'a franchit le beau Derek pour y disparaître. Elle semble éthyliquement réfléchir à l'idée. Elle s'assoit sur le bord du fauteuil, puis pose les yeux sur Mael presque endormie sur Derick. Ouais, ça va l'arranger lui aussi... profiteur... puis elle se souvient de Dorian.

- T'es trop con, Rick, y a le monsieur plein de fric qu'y'est témoin !

Elle s'affale à nouveau dans le fauteuil, contrariée.

Le monsieur plein de fric s'appelle Dorian Phantassos et est pour la liberté sexuelle dans el couple. Faites donc ce que vous avez envie mademoiselle, je ne vous empêcherai pas.

Dit Dorian avec un sourire amusé, en s'étirant tranquillement sur son divan.

De toute facon, je m'en vais. Je ne crois pas être ... invité.

Dit il avec un sous entendu. Manifestement, ca l'amuse Dorian. Il se lève, il est grand, il a la classe. On ne peut pas ne pas aimer son physique à Dorian. Il plait autant aux hommes qu'aux femmes, c'est certain.

Un petit tour aux besoins naturels avant. Je vous en prie, faites comme chez vous. Bonne nuit mademoiselle et monsieur.

Un baise main rapide à Ryleigh et il s'éclipse dans els amas de voilages blancs. Vers le pipi room.

Morphé vint chercher la jeune vélane. Elle semblait dormir paisiblement ainsi placer, la tête sur l'épaule de Derick. Mais se sommeil paisible était habituellement de courte durée...Mais peu improte, il pouvait se passer n'improte quoi elle ne s'en renderait même pas compte. Par-contre ce n'était pas dit que derek allait embarquer dans le trip de Ry'. Il n'était pas comme Mael. Maelya dans la dernière année avait tout fait pour être fidèle. Cela avait été difficile car quand on est une beauté comme Maelya, les hommes nous veulent. C'est un fait.

Maelya bougea un peu se plaçant comme un bébé dans les bras de Derick, toujours en dormant...

Elle dévisage le monsieur-plein-de-fric-nommé-Dorian-Phantassos. Elle a bien comprit ce qu'il a dit ? Ses lèvres s'entrouvrent, beaucoup plus de stupéfaction que l'excitation ascendante de la permission du tuteur de Maelya de s'envoyer son fiancé.

Et toute la logique implacable de Ryleigh se dévoile en ces quelques mots.

- Je crois que le monsieur-plein-de-fric, il aime pas Derek...

Ry est... passablement délirante et un peu fêlée sur les bords. Mais il y a certains principes qu'elle tient, question de ne pas sombrer définitivement dans la folie.

Elle se laisse tomber sur le divan, soudainement fatiguée.