La Plume ADMIN Créatif
Nombre de messages : 103 Date d'inscription : 14/12/2007
| Sujet: Description du Village 16/12/2007, 00:31 | |
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PORC-QUI-PIQUE
Petit village présentement situé dans le printemps constant d'Ostrelande. Un village? Plutôt un camp de réfugiés sorciers qui se cachent le temp de se reprendre. Un peu enneigé, fondant sans jamais perdre sa couche blanche, rempli de tentes et de diverses caravanes, on dirait des installations nomades d'amérindiens, pourtant il n'en est rien puisque ce sont les anciens sorciers et sorcières de Pré-Au-Lard dans leur fuite qui ont ainsi créé un petit village tranquille à leur manière...Le campement a une vague dispositions militaire, des tranchées l'entourant en une modeste défense autant contre les bêtes sauvages de la forêt que contre des moldus éventuels. On ne fait plus aucune confiance aux sortilèges repousse-moldus.
Ce serait temporaire dit-on.On l'espère tous. Pour le moment, ils se débrouillent bien, utilisant les ressources d'Ostrelande pour survivre, osant parfois braver les moldus pour les trucs de première nécessité. Ils n'ont que peu de contact extérieur, seuls les sorciers les plus hardis et les plus adaptés à la vie moldue ont des contacts avec l'extérieur, cherchant inlassablement à retrouver d'autres survivants, ramenant nourriture de base, subtilisant quelques bétail pour le lait et en faire l'élevage... et autres trucs pour adoucir ce terrible moment à passer.
Tout les sorciers réfugiés savent que les Rocstone y sont pour quelque chose. Les Rocstone sont d'ailleurs les seuls sorciers qui échappent aux visites inopinés des Inquisiteurs. Les sorciers réfugiés le savent. Mais Les Rocstone ont déjà été si souvent autant du côté moldu que du côté sorcier. Et les Rocstone l'ont toujours été.
Mais il n'y a pas que les Rocstone qui veillent. Un groupe de sorciers, que personne ne connaît en fait, patrouillent régulièrement et s'occupent des approvisionnements. Les sorciers qui ce sont retrouvés dans le feu de l'action des deux dernières décennies savent se souviennent de les avoir vu et la plupart du temps, ils semblaient n'agir que pour le mieux. Personne ne leur parle vraiment. Personne ne les connaît.
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