branle bas de combat. (tout le monde de la cabane)

*13 hres de l'après midi. le jour J, ou plutôt le jour R*

Dorian n'est visible nul part. Normal, il a rendez vous chez le barbier*officiellement du moins. on parie combien qu'il est en train de bosser dans son bureau?*. Mais il a tout prévu, encore une fois. L'ascenseur se fait entendre, un paquet de pieds remontent l'allée pavée. Puis, ca toque à la maison.

Ça toque ?...Et c'est lui qui doit s'lever ? Y'a personne ici ? Ça existe pas les domestiques ?...Il attends un moment...Ça toque encore, un peu plus fort. Tournant la tête, il cherche du regard ne serait-ce qu'une ombre qui pourrait s'approcher de la porte...

- HÉ ! ÇA COGNE !

Hurle t-il, son écho lui renvoyant son appel dans l'immense salon...Un instant, puis on cogne à nouveau. Merde alors ! Le lycan se lève lentement en grommelant...

- J'arrive, j'arrive, y'a pas l'feu...Arf non mais, j'suis usé moi, et pis être aussi riche et même pas avoir quelqu'un de tout con, payé au salaire minimum pour ouvrir les portes...

Marmonne t-il le long du chemin vers la porte avant d'ouvrir en grognant.

- Quoi ?

Lance t-il, une main sur la poignée, banalement vêtu d'un jeans usé, en chaussettes blanches, t-shirt rouge un peu trop grand, il a perdu un peu d'poids...assez pour que ça se remarque.

Une vrai petite foule s'amoncelle sur le parterre. Des tas de gens avec des tas de trucs.

Monsieur Donoline? Est ce que Monsieur Mercado et Miss O'Keefe sont là? Voilà, j,ai un message pour vous.

En effet, une note manuscrite de Dorian.

Bonjour. Désolé , je n,ai pas appelé. J'aipensé que ca vous ferait plaisir. Les tailleurs qui se présentent ici sont là pour vous donner de vrais vêtements de fêtes.

Nous sommes invités à réveillonner donc vous n,avez pas le choix de vous faire plaisir niveau fringues cet aprem.

A ce soir!

Dorian.

P.S. ce sont des tailleurs sorciers. Donc ne vous inquiétez pas.

Il déborde de partout sur le fauteuil. Et il paresse ouvertement. Il ouvre à peine les yeux quand on frappe à la porte. Il aurait pu aller ouvrir la porte, mais ses pattes sont pas faites pour tourner les poignées. Mais il lève la tête quand tous ces gens entrent dans l'appartement.

Maëlya était entrain de pioncer sur le fauteuil avec lucas version chien couché sur elle. Bien quoi c,était épuisant Poudlard, mais non en fait, depuis qu'elle était revenue pour Noël, elle bossait sur le cadeau de Noël qu'elle voulait offrir à Dôrian. Un cadeau de Noël commun pour Lou',Théo et Dô.. Elle avait un gros coton ouater de Cannibal Corpse, avec des pantalons trop grand, la capuche relever sur sa tête. Bref une Maël non maquillé relaxe en cet après-midi. Lorsque sa cogna, Maël entrouvit les yeux. Voyant que le dalmatien ne bougeait oas, elle ne bougea pas elle non plus.

J'arrive, j'arrive, y'a pas l'feu...Arf non mais, j'suis usé moi, et pis être aussi riche et même pas avoir quelqu'un de tout con, payé au salaire minimum pour ouvrir les portes...

''Je t'approuve a 100% dans cet affirmation.''

Dit la jeune femme dans un ton d'ados vedge.


Monsieur Donoline? Est ce que Monsieur Mercado et Miss O'Keefe sont là? Voilà, j,ai un message pour vous.

''OUEP ON EST LÀÀÀÀÀÀ! C'EST¨POURQUOI?"

Cria t'elle...ben quoi pourquoi se lever quand on était si confortablement installer. Surtout que vue qu'elle était réveiller elle frottait les oreilles de Lucas.

Une véritabler tornade féminine arrache Maelya à Lucas, Lucas a Melya et Théodore à Mael et Lucas... Bref...

Les trois se retrouvent séparés, un catalogue de modèles sur les genoux. Bon, pour les hommes c'est relativement facile, mais Pour Maelya, c'est aussi épais que le bottin de téléphone de Montréal.

Veuillez choisir un modèle qui vous plait.

Dit le tailleur aux hommes.

Regardez et dites moi ce qui vous ferais envie.

Dit la couturière à Maelya.

Maêl ne dit rien du tout surprise.

''Je comprend pas ce qui se passe...Pourquoi on a des couturiers?''

Elle jetta un coup d'oeil à tout ce qui se passait, amusé. Cela en lui déplaisait aps du totu de devoir choisir une tenue...mais si seulement elle savait pourquoi. Cela lui permettrait pas d echoisir epndant 5 heures une robe et de dire directement le style qu'elle voulait.

je ne sais pas si mademoiselle a remarqué, mais on est la veille de Noêl

lui répond fort poliment la couturière.

''oh...OOOOOOOOOOOOOOOOOOOH!''

Maêlya en avait presque oublier la date de Noêl tellement qu'elle n'était pas habituer de le fêter. il devait y avoir uen grosse réception.

''J'ai toujours rêver d'avoir une robe de style victorienne, avec le corset et le chapeau haute-forme...''

Maêlya était tout sourire, elle avait toujours voulu une robe dans ce style. Et si c'était un banquet sorcier, il falait bien se gâter. Maêl ne remercierait jamais assé Dôrian pour toute les choses qu'elle avait.

À peine à t-il le temps d'ouvrir la porte que tout ce monde entre, à croire qu'ils étaient affalés dessus. Le lycan gronde. Intrusion soudaine sur son territoire, ça l'irrite. Il n'a pas le temps de râler non plus qu'il est brusqué sur le sofa avec un catalogue, idem pour les deux autres malgré la ... "Caninerie" de Lucas. Enfin, sont sorciers que Dorian avait dit...Y'a pas d'quoi paniquer. Alors que Mael toute excitée sous un regard paternel de Théodore satisfait malgré le dérangement de la voir si souriante, se fait lancer un regard empressé par le tailleur.

- Quoi ?
- Si Monsieur veut bien quelques suggestions...
- J'ai d'jà porté l'complet t'sé.
- Oui, bien sûr. Mais je vous conseille la page 46.
- Hm ? Tournant les pages rapidement, le regard tombe sur un complet gris anthracite...Le même, sinon, semblable, à celui qu'il portait et qu'il aimait tant à l'époque du ministère.
- À votre sourire Monsieur Donoline, je crois être tombé sur le bon morceau, lui lance le tailleur avec un sourire complice...Et étrangement, Théodore ne peut s'empêcher d'y répondre. C'est à croire qu'il connait ses gouts...Ou alors ça lui va au teint le gris charcoal.
- Avec une chemise noire et une cravate en soie assortie, ce s'ra parfait.
- Monsieur à un sens de l'agencement indéniable ! S'exclame le couturier, bien content que ça ai été aussi court.
- Heh, lui réponds le lycan, fier, alors que l'homme en face de lui dont des épingles et des bobines de fil sont collées à son chapeau melon ramasse immédiatement le catalogue d'un geste contenté.

Puis Théodore tourne les yeux vers le chien qui bave allègrement sur le catalogue devant le tailleur exaspéré.

- Monsieur Mercado s'il vous plait, ils valent une petite fortune moldue ces catalogues, j'vous en prie.

[ J'en ai déduit que le tailleur avait été informé de ce qu'il allait trouver sur place avant de venir. ^^;; Le chien par exemple. ]

Sur les entrefaits, Dorian arrive, parlant à son bluetooth. Il leur fait un salut tout en continuant de deviser ferme. Encore une fois, Théodore peut remarquer qu'il n,a pas le temps d'entretenir son hâle naturel. Sacré Dorian. A ce demander quelles affaires peuvent bien brasser les businessmans pour qu'ils travaillent des 70 90 hres par semaine. Ceci sans compter les soirées, les galas et compagnie. Les gardes de la résistances qu'il accomplit et tout les petits extras qu'il fait sans se plaindre.

Personne ne sait que c'est papa Phantassos, mécontent du rendement somme toute exceptionnel du filston, qui lui a imposé d'augmenter encore plus le rendement de sa filiale europé-Américaine. Et les affaires c'est comme un gâteau forêt noire. On a beau l'adorer, le manger au complet, ca tape sur le coeur. Et trop, c'est le dégueuleton assuré.

Mais papa ne peut pas le savoir, parce que fils ne se plaint pas. Parce que père n'est pas un tyran. Et fils est un bien meilleur legilimens que le père. Mais fils ne fait pas ce que père a appris voilà longtemps. Ca s'appelle déléguer. Mais bon, pour le moment, il assure super bien, malgré son teint légèrement, un poil plus pâle que d'habitude.

Et voilà l'homme d'affaire, qui sur un sourire en regardant le choix de Maelya, lui fait un pouce levé, et sur un haussement de sourcil admirateur sur le choix de Théodore et une séance brève mais intense de 1 minutes de grattages d'oreilles Loucassiennes, s'éclipse dans sa chambre pour se préparer.

Mais visiblement, à part mâchouiller le catalogue, il ne semble pas avoir envie d'autre chose. D'ailleurs, l'arrivée de Dorian lui fait totalement oublier les tailleurs. Il se précipite sur Dorian et le suit au pas, entre ses pas si possible, la tête levée. Il a droit à sa minute de grattage, nécessaire à une bonne entente entre meilleurs amis, puis Dorian s'éclipse. Lucas, au grand dam des tailleurs, s'éclipse dans la cuisine.

Mais contre toute attente, il revient aussitôt... enfin, Lucas humain revient. Il est pied nu, dans un jeans ayant connu de meilleurs jours et un t-shirt blanc ayant aussi connu une vie avant l'agonie qu'il subit présentement.

Il s'assoit devant le catalogue. Il lève un doigt et pointe un truc.

- Ça ?
- Je ne vous le recommande pas, monsieur.
- Et ça ?
- Je vous le déconseille en cette période de l'année.

Imperturbable, Lucas poursuit.

- Celui-là ?
- Oh, non, monsieur, je ais même pas pourquoi je garde ça dans ce catalogue, monsieur.

Et ça pourrait durer des heures comme ça.

Des personnes s'attardaient autour de Maëlya en mêlée dans des mètres de tissus. Elle avait un mince sourire voyant Lucas se démener avec les tailleurs.

''Ça vous coute quoi de le laisser porter ce qu'il veut...''

Elle roula les yeux et débarqua de son petit podium en tenant les bouts de tissu noir et mauve. Maël pointa un habit dans le catalogue. Une chemise blanche à manche courte, avec un vecton sans manche dans un espèce de coton rigide noir avec un pantalon noir. Il y avait une boucle.

''Sans la boucle au cou, avec un chapeau melon...t je crois qu'on pourrait même mettre des bretelles blanche qui pandouille ou les pantalons...Tu en dit quoi Loucass?''

Elle fit un clin d'oeil à Lucas. Elle l'imaginait très bien elle vêtue de la sorte. Mais ses tailleurs à elle la regardait avec des gros yeux. Elle retourna donc sur son petit podium ou ils commencèrent à travailler le corset. On pouvait entendre MaÇel étouffer parfois

''Je vais tuer lui qui a dit qui faut souffrir pour être belle....''

- Si c'était que de moi, je me changerais même pas. Mais Dô aimerait pas.

Il hausse les épaules et regarde le tailleur.

- C'est elle, la figure de style, ici.

Le tailleur hoche la tête, puis obtempère.

- Je vais tuer lui qui a dit qui faut souffrir pour être belle....
- Tous les hommes qui écoutent les femmes se plaignent le disent. Et je crois pas que c'est parce qu'ils y tiennent.

Maêl regarde Lucas du coin de l'oeil...

''Est-ce que c,est une manière de dire que je suis belle?''

Elle avait son petit sourire en coin irrésistible. et enfin elle respirait mieu la coutirère avait désseré un peu, gardant toujours la ligne parfaite du corset...ou de Maëlya. Peu importe.

''Dit chez qui est la réception, j'ai vu personne s'activer ici pour en avoir une...''

17 hres sonnantes.

Dorian sort de sa chambre, en splendide tuxedo dit queue de pie. Seule concession à la modernité, le noeud papillon a été remplacé par un col Mao ou luit discrètement un rubis profond. A la poche du veston, une minuscule fleur de poinsettia ajoute la note festive. Ses cheveux soigneusements taillés et coiffés, l'oeil noisette ayant la hauteur de rigueur.

Il regarde L'équipe de couturiers, tailleurs et cie.

Votre délai est écoulé. Mes amis sont ils prêts?

Maëlya se tient dans le hall. Sa robe est splendide. Le corset est ligné mauve et noir et orné de dentelle pour le décolleter. Et quel décolleter....oufff. La jupe est de style victorienne noir et elle porte des souliers dans le même style. Ses cheveux sont remontés et bouclés en boudin d'un côté orné de diamant qui vont merveilleusement bien avec les boucles d'oreilles et le camé qu'elle porte à son cou. Et la touche d,originlaité? Maël porte un chapeau haut de de forme. Une vrai dame du 18ème siècle. Une jeune première quoi...non vêtue de blanc. Lorsque Dôrian arrive, elle est entrain d'enfiler ses gants de satin noir qui lui couvre la moitier des doigts.

Elle rayonne, elle est splendide et il y a un énorme paquet en forme de cadre qu'elle tient contre elle.Sa première vrai sortie mondaine!

...Qui eut cru dire un jour que Théodore pouvait être élégant ? Eh bien vantez vous mes amis. C'est d'un chic que Théodore sort de la salle de bains...sans sourire, bien sûr. Les cheveux bouclés, toujours aussi longs, lui tombant sur les épaules, mais propres, la barbe taillée au millimètre près, un habit anthracite, chemise noire, cravate de soie...Il porte ses bottes à cap mais elles ont été remises à neuf pour l'évènement...Et il ne sait même pas où il va, c'est d'ailleurs la raison de ce manque de crocs sur son visage.

Levant les yeux vers Maelya, il se retourne aussitôt, les joues rougissantes violemment, il entends finalement ce que Dorian lance malgré l'attention maladive qu'il met à faire sortir un bout de manche de chemise de celles du coat.

- Votre délai est écoulé. Mes amis sont ils prêts ?
- Ça baigne. On va où .

Demande t-il sans réellement poser de question...Il s'en fiche un peu, c'est une occasion comme une autre de se glisser un verre sous la cravate sans que personne ne le surveille...sûrement trop occupés à autre chose, il pourra prendre un coup en paix...

- Ouais, fait Lucas en glissant sa main sur le rebord du chapeau melon et en adressant une oeillade particulièrement voyante à Dorian.

Visiblement, ça le fait marrer ce truc.

Joli Loucass, tu as l'air de Fred Astaire... Boss, superbe.

Dit Dorian en se dirigeant vers la cheminée.

Nous avons été invités, vous vous en doutez.

Dit il, prenant un paquet contenant une bouteille d'hydromel cuvée spéciale. Il tend un bras à Maelya.

Miss, si vous voulez bien. Je vais vous accompagner. Le truc, c'est de garder les bras le long du corp et de ne pas bouger. Messieurs, nous nous retrouvons au manoir des Rocstone.

Guidant la jeune fille dans la cheminée, il prends dans un pot feng shui, une grande poignée de poussière.

Manoir Rocstone!

Un Froush de flammes vertes, et ils sont partis!

- Le manoir Rocstone ?! Oh !!! Oh mais ça c'est génial ! T'as entendu Théo ! Le Manoir Rocstone !!

Pare que Lu est allé lpusieurs fois au Domaine et que c'était génial, même en plein mois de juillet, il imagine sans peine ce que ça doit être à Noël !

- Noël chez les Rocstone ! J'y crois pas !

Et il saure sur le dos de Théo, pas longtemps, mais il le tient pareil et parle, enthousiaste.

- Le manoir Rocstone !

Il prend une poignée de cendre et la balance dans le foyer.

- Le domaine Rocstone !

Et il traîne Théo avec lui.

Fwooosh