Chez Dô, minimalisme feng shui.

Au top de sa maison mère, abrité des vents par une immense verrière faite sur mesure(que c'est plaisant avoir du fric) Un vrai petit paradis. Des plantes luxuriantes foisonnent dans une sympatique anarchie naturelle (signature de Ann) sur une mince couche de terre, des allées pavées de pierre brutes mènent tantôt à la piscine, tantôt au spa qui a été sculpté à même une pierre qu'on a amené du japon.

Les excentricités du multimilliardaires ont défrayées la manchette, quand il a décidé de s'offrir un domaine qui sera hors de portée de ses saletés de paparazzis. Et force est de constater qu'il a réussit. Rares sont les privilégiés à avoir accès à ce havre de paix et de tranquilité.

Il y a Lucas, qui a assez grand de terrain pour se dépenser, en format chien ou humain, il loge dans un petit pavillon créé spécialement pour lui et où son désordre permanent n'incommodera pas son ami.

La demeure en elle même est d'une simplicité extravagante par sa nature même. Une demeure de taille respectable, aux murs et au toit en planches de cèdres. De vastes portes en verres givrés imitant le papier de riz servent d'entrées à l'avant et l'arrière. Dedans, tout est dépouillé, dénudé, rien ne traine. Manifestement, soit lle propriétaire déteste ramasser des pots cassés, soit il ne passe pas beaucoup de temps dans sa demeure. A l'intérieur, on se croirait dans une maison japonaise traditionnelle. Des portes coulissantes dans le même matériau que celles d'entrée ferment les trois chambres et la salle de bain.
Pour le moment, la chambre de Dorian est hors d'accès.

Les chambres d'invités se compose d'une commode coffre, d'un matelas typiquement asiatique et d'une coiffeuse.

La salle de bain est d'un luxe raffiné. Dans des teintes de pierres et de marbres. Un grand bain deux place et une douche à jets multiples en verre prennent la place d'honneur, Un meuble en bambou avec vasque en marbre met en valeur le magnifique miroir gravé de dragon d'eau asiatiques. La porte de la salle de lavage est déguisée en tenture traditionnelle et mène à une grande salle de lavage avec les deux laveuses kenmore à chargement frontal, couleur silver.

Seule exception à la règle de la maison, la cuisine. Elle est vaste, chaleureuse, dans des tons de terre cuite et or, rehaussées par des touches de bleu et le cuivre des électroménagers Une table en bois de rose trône devant une immense baie vitrée. La cuisine et la salle à manger étant à aire ouvertes et séparées de la maison, comme un coeur bien caché, douillet et confortable.

Crac!

La main de Dorian lâche le bras de Maelya avant que l'homme ne s'avance vers sa demeure, laissant sa nouvelle pupille faire connaissance avec ce qui sera probablement sa demeure pour une couple d'années à venir.

En ce moment, l'homme d'affaire pianote un numéro sur son iphone et se met à parler à quelqu'un à propos d'un sujet indéfini.

La porte d'entrée coulisse et reste ouverte, en une invite à entrer.

Maëlya fut prise par surprise. Elle n'avait jamais transplané auparavant. Enfait elle ne connaissait même pas le thème exact pour ce qu''ils venaient de faire. La sensation présentement n,était pas si agréable. Elle avait même la nausé un peu...

''Wooo c'était quoi ça....''

Elle se secoua un peu et entra dans...le domaine, maison?, manoir? Elle fut surprise de voir un style si asiatique. C'était loin d'être son genre. Tout était trop ordonner...juste trop. Trop calme. Elle détestait le calme dans une maison...le calme extérieur oui. S'arrêter un peu écouter la nature, ne faire qu'un avec celle-ci. Mais une maison! Ah non, ça se devait d'avoir de la vie, de la poussière du vécu. Elle touvait l'endroit froid, un peu comme l'homme d'ailleurs. Elle déposa son sac, avec la même délicatesse qu'un éléphant dans un magasin de crystal... Elle entra un peu plus et regarda autour d'elle.

''Wow...c'est propre?''

C'est la seule chose qui lui vint en tête. Maëlya contrastait avec le décor. Une jeune fille désordonné des rues avec comme décor un endrfoit propre, riche et fenshui...Un drôie de portrait. Elle ne voulait pas devenir comme lui. Elel voulait rester elle-même, autant dans ses vêtements que ses manières, c'était sa personalité...

CRAC venant de la cuisine.

C'était pas étonnant que ça vienne de la cuisine. Enfin, pour quelqu'un d'autre, c'était sans doute étonnant, mais Dorian avait l'habitude. Ça farfouille dans la cuisine un moment, puis la porte s'ouvre sur un homme, un châtain pâle, lunettes sur la tête, en jeans bleu pâle délavé, presque blanche et un t-shirt noir.

- T'Es dfu pfour un'n'fvelle batfch dfe bfiscfuit... j'vfais qufand mfêmfe pfas bouffffer tfes trufcs sfans sfucfre bfien longtfemps.

Sac à la main, ( ce sont effectivement des biscuits grano, sans sucre, sans goûts et qui valent une fortune ) il passe au salon, saute par dessus le dossier du divan et s'affale dedans. Il enlève ses lunettes sur sa tête et les balance sur un des coussin dur du divan. Non, vraiment, Do et le confort, ça faisait deux... ou trois... voir 4...

- J'fe détfestfe tfes bfan d'pfarcf... se plaint-il, la bouche plein de biscuits.

Wow...c'est propre?

Il ne va certainement pas lui dire que ce n,est pas par goût qu'il a un tel décor. Mais les nécessités Loucassiennes priment sur son goût personnel. Et en plus, ca impressionne toujours la visite.

Ca fait imposant et intimidant. D'ailleur...

- T'Es dfu pfour un'n'fvelle batfch dfe bfiscfuit... j'vfais qufand mfêmfe pfas bouffffer tfes trufcs sfans sfucfre bfien longtfemps.

Yseult va ramener l'épicerie cet après midi. Dis Loucas... Tu n'a pas déjà bouffé les 30 sacs de biscuits décadents Le choix du président de cette semaine?
Nan, y'en reste trois... mais c'est tout ce qui reste

Sourire épais du concerné.

pourquoi tu mange mes biscuits alors?
Parce que j'suis ici, là.

Demande l'homme d'affaire avec un léger sourire, ce n'est pas la première fois qu'ils ont une telle discussion.

je devrais t'envoyer en cure de désintox.
Pour ?
ta dépendance au sucre.

Lucas prend l'air vexé

C'est pas parce que j'ai besoin de sucre et que je peux en ingurgiter sans prendre une oz de gras que je suis dépendant. T'es jaloux, pcq tu engraisses quan tu bouffe trop de sucre

Ce qui fait rire Dorian, un rire franc et honnête. Un rire qu'on aime entendre chez un homme. Un rire mâle. Lucas viens de s'évacher sur le divan

- J'fe détfestfe tfes bfan d'pfarcf... se plaint-il, la bouche plein de biscuits.

Le jour ou tu sera capable de me faire survivre un divan confortable plus que deux minutes en ta présence, je me ferai un plaisir d'exaucer ton souhait.

Dit il, en allant dans la cuisine à son tour. Il avise Maelya.

Fait comme chez toi, tu as une journée chargée.

mon divan, à moi, il est bien. Dit Lucas, en arrière plan, visualisant l'horreur marron à rayures orange qui trône dans son pavillon.

Lorsque Louca arriva, elle ne pu s'empêcher de rire. Un petit rire quand même. Elle regarda la scène d'un oeil amusé. Et il était vrai que le divan n'avait pas l'air confortable.

Fait comme chez toi, tu as une journée chargée.

Elle regarda un peu autour. Une douche s'imposait....et changer les vêtements aussi. Les jeans s'étaient fait pour les journées morose, les journées tranquilles ou on se prélassait. Et journée chargée? Que voulait-il dire par là? il allait la trimballer avec lui, l'envoyer à l'enseignement? Elle détestait étudier quand elle était gamine...alors le fait d'avoir arrêter l'école, n'aidait surement pas l'adolescente avec l'idée de rester enfermé entre quatres murs pour lire un bouquin...

''D'accord...vous avez une salle de bain? Sans avoir l'air dégueulasse ça fait quelques jours que je n'ai pas prit de réelle douche...''

Elle fit un petit sourire gêner. Se laver dans les rivieres ou a même le robinet, n'était pas ce qui nettoyait le plus...Elle remarqua soudainement aussi que le dalmatien n'était plus avec eux...

''Il est ou le chien?''

Un appel... Il décroche.

Un instant...

Il pointe une direction.

Le chien? Loucass est sur le divan. J'te l'ai dit, fais comme chez toi. Donc, tu choisis ta chambre et fouille pour ce que tu as de besoin. Tu n'ouvres juste pas la porte en chêne.

Puis, il repart en grande conversation avec une femme visiblement.

Ah, bien, dans quinzes minutes? Parfait... Mon bluetooth est réparé? Parfait... Voici ce que j,attends de toi tu va...

Et blablabla, la suite....

Quoi le chien est un humain....ou l'humain était un chien. En fait, en ce moment, valait mieux pas ne poser de question. Elle venait d'entrer dans le monde des sorciers. À partir de maintenant, tout était possible...car si les schtroumphs existaient....tout pouvait exister! Elle salua Loucas de la main, peu sure de comment agir avec celui-ci...Et À partir de là, elle se mit à la recherche d'une chambre. Elle tira sur une porte coulissante...décidément...c'était trop net, trop propre. Faire comme chez elle? Peu importe les commodes, armoires qu'ils y avaient. elle prit son sac et renversa le tout pêle-mêle...décidément, la jeune fille avait au moins utiliser la magie pour entrer les choses dans son sac, car le lit était pleins de choses, et une parie du plancher aussi. D'ailleurs, lorsque son épée tomba du sac, ça fut un bruit très raisonnant...

**OOps**

D'ailleurs la chambre était un vrai bordel, pêle-mêle de livres et de linges majoritairement noirs, beaucoup de corset et de cuir, des sous vêtements...Des bottes, pas de soulier....

''Voilà, c,est beaucoup plus moi...mais il manque....''

Elle regarda autour d'elle, elle lança des morceaux de linges et de livre sans vraiment regarder ou elle les lançait. Elle trouvait enfin ce qu'elle cherchait...un cadre avec une photo de elle et son frère...la photo devait dater d'environ deux ans, Maelya avait les cheveux rouge vif, son frère arborait un beau sourire, elle aussi d'ailleurs. Son frère avait de multiple piercing et tatoutage, des cheveux longs, noir, plus ou moins brosser. Un sourire nostalgique apparu sur ses lèvres. Elle mit le cadre sur la commode. Elle fouilla un peu, sortit une trousse de toilette ainsi que des vêtements. À la recherche de la salle de bain. Ça ne fut pas très long qu'elle trouva. Elle fut très impressionner par celle-ci. Bon la douche. Lorsqu'elle vit toute les jets les robinets, elle fut perdue...Elle n'y connaissait pas grand chose en matière de technologie non plus. Elle ouvrit un jet au hasard...de l'eau froide dans le dos...

''AAAH BORDEL DE MERDE DE PUTAIN DE TRUC TROP COMPLIQUER POUR RIEN!''

Elle avait crier...elle avait été surprise. Bon elle se concentra après quelques essaies, elle trouva enfin les bons jets avec la bonne température.

Une fois la douche prise, elle mit un produit lissant dans ses cheveux noirs. Elle se revêtit, d'un pantalon de cuir moulant, taille basse avec un corset de cuir, lacer au dos. Mais celui-ci fermait et cachait son ventre. Elle mit par-dessus une ceinture avec des balles et un collier dit ''choker'' au cou. Elle mit aussi des avants bras en cuir, lacer. Son maquillage, un rouge sang sur ses lèvres en forme de coeur et du noir autour des yeux pour faire ressortir le turquoise. Satisfaite de ce qu'elle avait de l'air, elle sortit de la salle de bain, direction cuisine, la faim la gagnait. Elle ouvrit le frigidaire....

''Loucas???''

La cuisine est remplie d'une multitudes de sacs d'épiceries, pour tout les goûts. Quand il a dit qu'il s'occuperait d'elle, il ne mentait pas.

Loucas???

Dorian est dans la cuisine, en train de déballer et de ranger les achats, avec un petit bout de femme, 5 pieds et 4, chevelure d'un blanc pur coupé archi-court, ce qui met en valeur son visage d'ange aux prunelles bleues blanches et son teint pâle, habillée d'un chandail de bon goût blanc, d'une jupe blanche. Sur le dossier de sa chaise, un trench coat blanc. On pourrait presque la croire aveugle.

Mais la facon qu'elle suit la demoiselle du regard prouve le contraire, hors de tout doute. Et l'expression du multimilliardaire est tout sauf contente. Sa voix, grave et basse, est mécontente, même si elle est parfaitement dosée.

Maelya. Tu me représente en tout point, en tout temps... Et non... Le cuir ca ne me dérange pas. Mais le style néo gothique de bas étage ca ne donne aucune crédibilité. Tu va aller me faire le plaisir de sortir avec Yseult pour aller me magasiner une garde robe complète et de circonstances.

Les lèvres fermées, Yseult sourit.

Maëlya salivait juste à voir la nourriture qui traînait. Elle s'était attendu à n'avoir que de la nourriture biologique...mais non, il y avait de la bouffe normal. Mael saluat la femme d'un signe de tête poli. Maelya était plus petite que la femme avec ses 5 pieds...


Maelya. Tu me représente en tout point, en tout temps... Et non... Le cuir ca ne me dérange pas. Mais le style néo gothique de bas étage ca ne donne aucune crédibilité. Tu va aller me faire le plaisir de sortir avec Yseult pour aller me magasiner une garde robe complète et de circonstances.

Une garde-robe de circonstance? Que voulait-il dire par là? Lui faire porter des tailleurs, du chanel, ce genre de truc? Maelya le regarda un peu éberlué et à la fois choquer.

''De circonstance? Et c'est quoi de circonstance? JE m'habillerai pas à la dernière mode, avec du chanel et du gucci, peu importe les grands couturiers...j'aime pas ça...''

Elle ne voulait pas. Cela se voyait. C'était une adolescente...comme son frère. LE conformiste bien peu pour elle. D,ailleurs elle aborait plusieurs piercings....un à la poitrine, un anneau à la lèvre, un anneau dans le nez, l'arcade sourcilière....ses vêtements, son style c'était un peu de sa liberté.

Du chanel?

Haussement de sourcils de Dorian.

C'est pour les vieilles peaux qui ne savent pas quoi mettre le chanel. Non... Je veux que tu t'habille convenablement. Tu me représente en tout point Maelya. Tu a le droit de porter ce qui te plait, piercings compris, tant que ca ne fait pas prostituée.

Maintenant, dangereux froncement de sourcil, le noisette est dur.

Et ce n'est pas négociable. C'est dans le contrat.

Fichu contrat! Maelya hésitait à être en colère, triste ou la froideur.... Ce faire dire qu'elle ressemblait d'une prostituée l'enrageait. Elle ne trouvait pas. Elle trouvait cela sexy et confortable en plus. Le corset avait tout la classe du monde...

''Bien...quand Madame Iseult sera prête à partir, elel viendra me chercher dans la chambre ou je suis...''

Froide et une certaine colère aussi. Elle avait accentué sur le madame. Elle touna les talons, mais revint prendre une boîte de biscuit au chocolat et partie dans sa chambre sans même regarder personne. Si les portes se seraient claqués, elle L'aurait fait. Elle s'assit sur la pile de linge et le bordel qui y rêgnait et commença à manger des biscuits...Elle ne savait pas si elle était en colère contre lui. Contre le contrat. Du fait qu'il fallait qu'elle change ses manières. Elle dmeandait un toit et des connaissances, pas de venir représente d,un multi milliardaire!

- Loucas???
- Quoi ? répond-il sans bouger de son divan.

Puis, il oublie, puisque personne n'insiste. Il continue de bouffer les biscuits qui au final ne lui apporte aucune dose de sucre. Puis, d'une oreille distraite, il entend la conversation entre Dorian et Maelya au sujet de ses vêtements. Il prend le temps de l'observer lorsqu'elle repasse vers la chambre.

- Moi j'trouve ça joli, dit-il, tout sourire, avant de se remettre un biscuit au complet dnas la bouche.

N'en rajoute pas tu veux?

Dit il avant d'aller dans sa propre chambre, pour se changer.



Un cognement à la porte.

On peut y aller. J'ai plusieurs endroit à te faire aller. Je suis certaine que ca va te plaire. D'abord on doit aller choisir l'ameublement et la déco de ta chambre, ensuite tu va faire les boutiques. Tu achète ce qu'il te plait, je n'ai pour seule consigne pas de corset ni de minijupes.

Les prunelles bleues blanches se posent sur la jeune fille. Un sourire plein de crocs à la Théodore, mais bref. C,est comme un soleil sur une banquise.

M. Phantassos n,est pas un monstre. Mais en son domaine, le moindre laisser aller peut avoir des conséquences désastreuses... Je ne suis pas là pour faire la mère. Je ne respecterai que les consignes qu'il m,a donné et il n'y en a que deux. Pas de corsets ni de minijupes, et une robe de soirée comme il te plaira, tant qu'elle est décente. Tu verra, il y a plein de nouveautés cette saison. Et si un truc en particulier te fait envie, dit le moi.

Tu es prête?

Maelya regarda la femme entrer. Elle écouta ce qu'elel avait à dire et soupira...elle allait lui prouver que les corsets pouvait avoir beaucoup de classe en soi, porter par-dessus uen chemise. Pas besoin d'en acheter des nouveaux.

La jeune fille prit au hasard un hoodies avec un nom de groupe débile et mit son perfecto...mais elle s'arrêta un instant.

''Iseult, c'est ça? S'agit-il d'aller dans les boutiques moldus?''

On pouvait lire la peur dans ses yeux. Elle ne pouvait pas aller dans un milieu Moldu rempli de gens. Elle était fiché en Angleterre! On la recherchait...aussitôt qu'elle mettait le pied dans un endorit moldu, des policiers et incquisiteurs arrivaient.

''Car disont....que je suis un peu beaucoup une criminelle...''

Elle baissa les yeux...

M. Phantassos est en train de régler cela.

Répond simplement Yseult. Elle regarde la jeune femme, sort une délicate baguette de bouleau.

Les gens ne sont pas physionomistes en général. Je n,ai qu'à...

Un coup de baguette, et les cheveux de Maelya prennent une teinte bleue électrique. un autre coup, et les lèvres prennent la même teinte. La lycane a un air satisfait.

Je vous rendrai au naturel quand nous reviendrons.

M. Phantassos est en train de régler cela.

Rêgler ça? Comment il va faire? Payer des gens....son père à elle qui est chef d'uen brigade? Les choses allaient sûrement être un peu corcé...Iseult sortit alors une baguette. Maëlya fut stupéfaite de voir le changement radical de ses cheveux. Du bleu....Wow. Elle adorait. Elle sourit à Iseult un sourire que se voulait sincère.

''Merci...''

Je vous rendrai au naturel quand nous reviendrons.

Maëlya ria un peu.

''Vous êtes pas obligés...hahaha'''

Elle mangea un dernier biscuit et alla faire un câlin spontanée à Iseult.

''Vous êtes gentilles! Merci de m'amener....''

Sourire d'Yseult tandis qu'elle accepte le câlin de bonne grâce.

Allons y alors, le temps file et je dois rentrer avant la lune.

Elle dirige alors la jeune fille vers un ascenseur et hop! Les voilà parties vers une virée de tout les diables.

Toujours affalé sur le divan, cherchant les dernières miettes de biscuits au fond de la boîte... miettes qu'il répand allègrement sur le dit divan, Lucas observe les deux femmes se diriger vers la sortie.

- Bonne virée, les filles. Oh, Yseult, n'en fait pas une none, manquerait plus que ça avec Monseigneur Phantasoss pour que j'devienne cinglé.

*lendemain soir*

C'est une domestique qui ouvre la porte. Impeccable dans son uniforme. Elle s'incline avec déférence.

Monsieur et madame Okeefe, bien le bonsoir, permettez moi de vous débarasser de vos manteaux.

Et derrière elle, en tuxedo, Dorian. Splendide et mâle, au charisme certain, même s'il est de nature différente que celui du père de Maelya. Un charisme cent pour cent naturel, humain.

Bonsoir , je vous remercie d'être venus. Dorian Phantassos, nous nous sommes parlés au téléphone.

Il serre la main de monsieur, un galant baise main à madame. Puis, il les guide au salon.

Maëlya est en train de superviser le souper et la préparation de la table. Puis je vous offrir des apéritifs? Quelques canapés?

Les Okeefe sont très poli aborant un magnifique sourire à Phantassos. Ils le suivent jusqu'au salon.

''Notre fille dans une cuisine ça me surprendrais...''

Dit la mère moqueusement. Visiblement, ils semblaient détacher d'émotion vis à vis leur fille.

Maëlya est en train de superviser le souper et la préparation de la table. Puis je vous offrir des apéritifs? Quelques canapés?

''Oui avec plaisir! Je prendrais bien du vin blanc s'il vous plaît.''

Elle ne se gênait pas.

''Non, merci. Je vais être plus direct.Va t'elle se joindre à nous?''

Effectivement, il était devenu sérieux, mais toujours poli.

Maëlya elle restait sur le bord de la porte pour tout entendre. Elle avait le ventre noué.

Vous savez, monsieur O'Keefe, que Maëlya est très nerveuse à l'idée de vous revoir après tant d'années. Je pensais d'abord vous mettre à l'aise avant que nous passions aux retrouvailles.

Dit Dorian en servant galamment madame, prenant soin de se montrer calme, posé et maitre de la situation. Evitant avec tact le sujet que les parents de la jeune fille crint dans leur têtes.

L'homme pouffa de rire un peu.. Il s'en foutait un peu dans le fond. C'était sa femme qui avait prit se rendez-vous. Pour lui, revoir sa fille lui importait bien peu. Dans sa tête, elle devait être coffré. C'était un danger public et dans les dernières années elle l'avait bien prouvé.

''Ce n'est pas mon problème Monsieur Phantassos...c'est le sien. C'est elle qui s'est enfui. Les choses auraient été beaucoup moins compliqué si elle ne l'aurait pas fait.''

Madame tant qu'à elle prit avec soin le verre. Elle semblait plus nerveuse que son mari.

''Monsieur Phantassos, c'est que j'espère que vous comprendrez qui à un mandat d,arrestation sur elle, et même de permission de la tuer si on se trouve en sa compagnie...''

Son mari acquiesca d'un signe de tête. Mais la voix de la femme avait été tremblante, comme si elle n'approuvait pas le mandat émit.

Je suis au courant madame.

Dit Dorian en tenant le contact visuel avec celle ci.

Cependant, depuis qu'elle est ici, je puis vous certifier sur mon honneur qu'elle a eu une conduite exemplaire. J'ai toujours cru aux secondes chance. Et c'est ce que je veux offrir à votre famille ce soir. Elle a de la volonté et de la persévérance. Avec le temps, ses légers problèmes disparaitront d'eux même, de grands experts en la chose me l'ont confirmé.

Il a spotté le point faible si on peut dire... Un coeur de mère reste toujours un coeur de mère. Il repasse au père.

Je suis certain que vous avez scruté mon dossier à la loupe avant de venir, monsieur O'Keefe. Vous pouvez donc être fixés sur ma bonne foi en ce qui nous concerne n'est ce pas?

La femme sourit à Dorian. On voyait qu'elle était prise dans une gamick malgré elle.

''Je vous suis très reconnaissante d'ailleur de prendre soin de ma fille comme ceci...''

Mais un coup d'oeil sévère de l'homme fut taire sa femme.



Je suis certain que vous avez scruté mon dossier à la loupe avant de venir, monsieur O'Keefe. Vous pouvez donc être fixés sur ma bonne foi en ce qui nous concerne n'est ce pas?

''Il va de soi...''

Il le défia du regard. Un regard profond dangereux, qui signifiat bien qu'il était un des meilleurs incquisiteurs.

''C'est pourquoi j,en suis sure Monsieur que nous pourrons arrivé à un arrangement financier.?

Un sourire en coin. Comme ceci, il ressemblait beaucoup à Maëlya, sauf que ses yeux étaient froids.