De retour de son trip romantique

Dorian lui avait donné sa journée d'hier...pas la nuit. Elel avait réussi à ce réveiller à l'hotel sans réveiller personne, laissant au passage son numero de cellulaire à Derick...

C,est vers 6h du matin que Maelya entra ches Dorian, ses souliers dans les mains en espérant ne pas faire de bruit...mais bon à quoi cela servait puisque tout le monde sait que à cette heure Dorian était lever...Mais bon une adolescente s'essaye...
Elle passa rapidement devant la cuisine et courru jusqu'à sa chambre, accrocha avec ses pieds une paire de botte qui trainait et tomba à palt ventre par terre, se retenant en mordant les lèvres de lâcher un juron....

*oui, je sais, en retard*

Avoir regardé, Maelya aurait remarqué la désolation qu'est le jardin jadis luxuriant de Dorian. Si elle a traversé l'endroit dans le silence, c'est qu'il est occupé à exploser complètement à l'opposé du toit, contemplant le carnage que ses plantes d'herboristeries, des plantes rarissimes, ont subies.

Tempêtant en grec, ne sachant pas encore ce qui c'est passé, lui qui était déjà a cran parce que la vélane a encore découché, retourne vers sa demeure pour trouver la compagnie de jardinage... Ils vont payer...

Quand il entre , il voit Maelya à plat ventre dans le corridor. Les bras se croisent, glacial comme une banquise, il se contente de la toiser. Il est furax comme elle ne l'a jamais vu.

MAelya se sentfixer. Elle se retourne. Oops..Dorian est pas content. Mais vraiment pas. Elle, elle n'était pas fâcher et savait pertinament que c'était de sa faute...et jouer l'ingénue ne marcherait pas...D,ailleurs il peut voir que Maelya n'a rien fait de mal...

''Oui je sais...je n'ai pas coucher ici, j'ai pas pensé d'appeler, mais j'étais très fatigué. Je me suis assoupi et endormi...désolé...''

Elle avait en tête les spasmes de fatigue causé par Théodore...

Mais il faisait vraimetn al tête? Juste pour ça? Il se serait contenter de dire qu'il était déçu au lieu d'être dans cet état.

''Qu'est-ce qui se passe...je suis sure que c'est pas juste a cause de moi que tu sembles vouloir tuer tout ce qui bouge....avec seulement ton regard...''

Maelya essayait de faire passer le tout avec de l'humour, mais visblement, il continuait de la fixer. Elle devenait un peu plus nerveuse.

'' Bon d'accord j'avoue, je devais être un peu trop emthousiaste de passer du temps avec mon nouveau copain...et la Théodore est arriver...et il était bizarre, il prenait comme notre éergie. Pas penser de venir ici, trop bien dans les bras de Derick...bref chose futile...J'aurais du revenir ou du moins avertir je sais...''

Il y a froncement de sourcil de la par de son tuteur comem si il attendait une suite...

''Tu veux quoi d'autre? On est resté à L'hotel. On a rien fait a par manger et faire des choses de démonstration affective...''

Maelya s'arrêta à ce moment.

''Bon tu vois...et la il cherchait Porc Qui Pique j'ai donc appelé Theo, theo est venu, il avait pas l'air du gros toutou grognon que l'on connait. Il semblait plus imporant, plus en forme, plus jeune. en plsu de prendre comme notre énergie. C'était très bizarre...sinon j,ai rien fait d'autre. Je me suis coucher. Endormi...et réveiller et venu ici au plus vite...c'est tout...''

Il pouvait voir qu'elle disait la vérité...pure et simple ah et aussi le fait qu'elle était éperdument amoureuse...comme une adolescente...

Le diamant noir que sont les prunelles de Dorian l'épinglent aussi froidement qu'un thanatologiste(embaumeur). La voix douce du multimilliardaire est aussi sirupeuse que celle du serpentard qu'il est.

Laisse moi deviner. La journée inclue la nuit maintenant et quand on découche, comme quand on est à l'hoîtal, on en oublie même la notion la plus élémentaire de cellulaire ou de téléphone public? Parce qu'on a des démonstrations affectives on en oublie ses responsabilités? Mes maitresses et mes amants ne m'ont jamais empêché de remplir ma part du contrat jeune fille.

Il voit bien les spasmes de fatigue et là, en ce moment, il en a marre. Marre de son jardin perdu, ce n'est pas plus le désagrément monétaire que les plantes qu'il a ramassé à grand peine des 4 coins de la planète. Marre de Maelya et de son arrogance, de son inutilité. Il a eu des doutes, qu'il a fait taire par amitié pour Donoline. Amitié et affaires ne font jamais bon ménage. Et pourtant, il y a cru en Maelya. En sa débrouillardise, sa volonté de s'en sortir.

Son potentiel aurait été un grand atout, avec l'éducation appropriée, pour l'entreprise.

Il la regarde comme un insecte, un insecte qu'il a plaqué or et argent... Une princesse des chiottes.

Tu ne m'aura pas avec tes salades sur Donolaine... De plus ca ne change à rien à la situation. Tu as la cervelle inversement proportionnelle au vortex que tu as entre les cuisses. L'amour? tu n'a aucune considération pour toi ou pour les autres... Le respect? Tu n'es même pas foutue de te respecter toi même ou la main qui te nourrit. Tu te fous dans le trouble sans cesse et c'est à moi de payer.

Il lève la main, interrompant toute protestation dans l'oeuf.

Je ne parle pas monétairement, mais en temps et en ressources. Je t'ai avertie hier pourtant. Tu n'es pas rentable. Tu n'es qu'une flambeuse professionne égoiste. Tu ne te pose mêeme pas la question dec e que ton attitude et tes excentricités, sans compter ton irresponsabilité, nous coûte en sacrifices, à Loucas, au boss et à moi. Au soucis supplémentaire qu'Yseult et Emma affrontent sans même sourciller. Sans compter la mauvaise publicité que tu nous fait. J'ai laissé les magasine parlant de ton comportement sur ton lit.

Il a un sourire vipérin.

Pourquoi tu n'es pas morte? J'ai mis un terme au contrat... Je t'ai avertis mainte et mainte fois et tu n'a jamais répondue aux exigences minimales. Je n'ai pas été pingre ni ladre... Et je ne le suis pas. Tu m'enverra ta future adresse, je t'enverrai le contenu de ta chambre.

Sur ce, il lui fait face... Maitre et sûr de lui. Maelya a t'elle pris conscience de ses manquements? La joueuse en doute, elle foutra sûrement ca sur la faute de son tuteur inhumain.

Ohla, il était dure Dorian...qu'est-ce qu'une adolescente pouvait répondre au fait de se faire traiter de putain. Elle ne pouvait rien dire. Il avait raison. Elle avait déconner. Personne aimait se faire mettre à la figure la vérité. Maelya ne savait pas vivre. Mais elle ne savait pas qu'elle nuisait autant. En fait, elle ne savait pas qu'on se préoccuppait autant de ce qu'elle faisait...

Pourquoi tu n'es pas morte? J'ai mis un terme au contrat... Je t'ai avertis mainte et mainte fois et tu n'a jamais répondue aux exigences minimales. Je n'ai pas été pingre ni ladre... Et je ne le suis pas. Tu m'enverra ta future adresse, je t'enverrai le contenu de ta chambre.

La jeune fille contenait ses larmes....

''Tu n'aurais pas du annulé le contrat, quand on est un être aussi inutile et fauteur de trouble, peut-être vaut-il mieu ne plus vivre...J'ai déconné...j'aurais du en subir les conséquences.''

Elle se pinça les lèvres.

''Peu importe...Merci pour tout Dorian...mais je ne te donnerais pas ma nouvelle adresse. Mes affaires tu peux les gardés. Tu m'as pris je n,avais rien...je peux vivre encore avec rien tu sais. Tu diras à Théodore que son air de grognon sympas va me manquer et tu remercieras Loucass de m'avoir fait rire...''

Elle lui tourna le dos pour aller à sa chambre. Mais se retourna.

''J'en ai rien à faire de ce que les magazines pensent...ce qui était important comme avis c'était toi...j'ai essayé, j'ai échoué. M'excuse de t'avoir fait perdre ton temps. J'aurais du le savoir que je n'étais pas faite pour se genre de vie. Laisse moi juste quelque jour, le temps que mon frère revienne de tourner et puisse me prendre. après promis tu entendras plus parler de moi. Jamais...Ah moins que je réussisse tranquillement à devenir une super agente musicale ou une super pianiste connu...''

Petit rire accentué de larmes.

''Je pourrai dire que au moins une fois dans ma vie j'ai gouté à la richesse...''

C'était sarcastique...doucement elle s'approcha de Dorian et lui déposa un léger baisé sur al joue. Il avait beau être en colère...Maelya ne pensait aps qu'il aurait fallu un jour dire aurevoir à son tuteur. qu'elle aimait un peu comme un frère...Un oncle proche.


Les joues ruisselantes, Maelya tourna le dos à Dorian afin de se diriger dans sa chambre, téléphoner à son frère et ramasser son vieu Pack-sac. Elle laisse la porte ouverte et voit les magazines...image très peu flatteuse d'elle. Magazine en main, elel s'asseoit sur son lit et feuillette rapidement. Normal que Dorian soit fâché. C'est lui qui passait pour un imbécile. Maelya comprenait sa colère. Mais ne savait quoi faire. Oui elle devait changer. Changer de mode de vie. Oui elle réussirait à diriger des groupes. Un jour. Elle en était persuader. Fallait qu'elle vieillisse un peu. elle le savait. Mais bon présentement, elle avait surtout de la peine. De al peine de réaliser qu'elle était qu'une ingrate...et finalement qu'elle était pas grand chose. Et que tant de gens s'était dévoué pour elle et que elle, elle n,avait rien vue. C'est ce que pouvoir Dorian dans la tête de l'adolescente.

''Tu n'aurais pas du annulé le contrat, quand on est un être aussi inutile et fauteur de trouble, peut-être vaut-il mieu ne plus vivre...J'ai déconné...j'aurais du en subir les conséquences.''

Tiens donc, maintenant elle se la joue victime... Regardez comment je fais pitié. Je ne suis qu'une merde... La psychologie de bas étage, Maelya, tu te la garde. Essaie pas ce jeu là avec moi.

Pense Dorian en la fixant durement. Depuis le temps qu'elle manipule et qu'elle mène tout le monde à la baguette, c'était inévitable que ca arrive.

''Peu importe...Merci pour tout Dorian...mais je ne te donnerais pas ma nouvelle adresse. Mes affaires tu peux les gardés. Tu m'as pris je n,avais rien...je peux vivre encore avec rien tu sais. Tu diras à Théodore que son air de grognon sympas va me manquer et tu remercieras Loucass de m'avoir fait rire...''

Tu leur dira toi même... Je ne suis pas ton valet...

Elle lui tourne le dos pour aller à sa chambre. Mais se retourne.

''J'en ai rien à faire de ce que les magazines pensent...ce qui était important comme avis c'était toi...j'ai essayé, j'ai échoué. M'excuse de t'avoir fait perdre ton temps. J'aurais du le savoir que je n'étais pas faite pour ce genre de vie. Laisse moi juste quelque jours, le temps que mon frère revienne de tourner et puisse me prendre. après promis tu entendras plus parler de moi. Jamais...Ah moins que je réussisse tranquillement à devenir une super agente musicale ou une super pianiste connu...''

Petit rire accentué de larmes. Il ne hausse même pas un sourcil. Un bloc de glace serait plus expressif...

''Je pourrai dire que au moins une fois dans ma vie j'ai gouté à la richesse...''

C'est quoi ca? C'est quoi cette remarque de merde? Le faire sentir cheap? Désolé c'est raté. Il la fixe s'en venir, l'attraction de vélane qu'elle exhale et qui lui a donné une jugetoe de la grosseur d'une lentille. Quand elle part dans sa chambre, il va dans le salon, sur le fauteuil archi inconfortable. S'installant dans la marque de paires de fesses de Donoline, il commence sa réclamation d'assurance pour les plantes. Ben quoi c'est pas parce qu'on a plus de fric que ce qu'on peu en compter qu'on a le droit de dilapider.

Une enveloppe brune, à ses côtés, avec le nom de Maelya dessus. Il y a la facture de totu ce qu,elle lui a coûté. Il la prends et la pose sous le portable, sans l'ouvrir.

Maelya, elle, peut voir une convocation pour son orientation de travail, lundi matin. Et une référence pour un logement.

Quoi, vous pensiez qu'il la foutrait à la rue comme ca? Il est un homme d'affaire, ca ne le ferait pas le scandales dans les magasines. Quoique le plus gros scandales soit qu'il ait accepté de prendre Maelya sous son aile. d'ailleur, les prents biologiques de la jeune filles en ont bien profité dans une entrevue pour le mettre en boite et le présenter comme un pédophile. Dorian n'en a pas parlé, mais ca l'étonne que personne ne soit au courant.

Résultat, poursuite en cours pour atteinte à la réputation, une autre perte de temps et d'énergie phénoménale. Les papiers qu'ils ont signés, devant témoins, qui ont eux aussi signés, sont bétons.

Il y a de la relation publique à faire en masse... Ca aurait bien passé si Maelya n'enchainait pas connerie sur conneries. Il n'y a que cette solution. Elle est libre désormais de faire toute les stupidités de la terre.

Maelya finit de lire les magazines dont l'entrevue de ses parents biologique. Quels connards...Elle les détestaient. Elle soupira en essuyant ses larmes. Elle remarqua l'enveloppe qui était a son nom. Les mains tremblantes elle l'ouvrit. A ce Dorian il pensait a tout. Elle ne pu s'empêcher d'avoir un mince sourire a travers ses larmes. Elle allait pouvoir travailler, avoir son apparte et essayer de vivre avec les conséquences de ses actes. Maelya prit sa peluche, alluma son syst`me de son pour faire jouer une musique lourde, sombre, mélodique...doucement dans les alrmes elle s'assoupi prête pour un nouveau lendemain....ou peu importe. On dit que le sommeil porte conseil...

Quelques heures plus tard Maelya se réveilla. La musique ne jouait plus et tout semblait calme dans les environs. Il devait être 14h...Maelya regarda son lit. Elle avait espérer l,espace d'un moment que tout ça était un sale cauchemard. Il n'y avait eu aucune explication. Que de la vérité. Maintenant qu'on sait la vérité, qu'on y a fait face, faut faire avec et faire des arrangements. Une discussion et des arrangements avec Dorian s'imposait et c,est pas engueulant et en faisant pitié qu'elel allait y arriver. Elle le savait bien....

Direction cuisine pour la vélane. Un repas incitait au calme...et à la discussion. Maelya commença par ouvrir le frigidaire...Maelya ne savait pas réellement cuisiner. Mais bon tout le monde était capable de faire une salade asiatique, avec du romarin, desa grumes...ainsi que faire chauffer des rouleaux de printemps...Maelya se mit donc à faire à manger...D.éfaire els agrumes, défaire la salade, mettre les épices, faire la vinagrette...Et par la suite, elle mit au fourd les rouleaux de printemps et le poulet griller pour mettre dans la salade.

Pendant que le tout était dans le fourd, l'adolescente se dirigea dans la salle de bain...Se laver. Et s'habiller. Bien s'habiller. Digne de ce qui pouvait ressembler à quelqu'un qui travaillait pour Dorian. Une robe blanche, manche trois/quart, pas trop courte arrçetant à la hauteur des genoux et des petite balerines au pieds noir et blanche, ciré avec une petite boucle...Simple et classe.

L'heure du souper arrivait à grand pas. Maelya plaça le tout sur le réchaud et la salade était rester dans le frgidaire. Pourtant la table était bien mise. Maelya s'assit attendant que éventuellement Dorian se pointe....Ce qui pouvait être long. Mais elel serait patiente.

Il a travaillé tôt, ou tard, selon le point de vue, à 10 hres du matin, il s'étire comme un chat et va se coucher quelques heures. il a une soirée d'inauguration à 21 heures.

18 heures. Il se lève, se lave Puis repasse dans la cuisine afin de pouvoir prendre un café et une collation tout en finalisant la liste des plantes... Ses plantes, même celles de sa chambre... C'est tellement ... Il n'y a pas de mots pour décrire...

S'arrêtant à la porte de la cuisine, il regarde le tableau d,un oeil soupconneux.

Maelya lève les yeux vers Dorian, avec un sourire poli.

''Tu peux t'asseoir...j'ai fait à souper. Salade aux agrumes avec rouleaux de printemps et poulet griller...''

Elle se lève en pinçant les lèvres.

''Je ne te cacherai pas que je n'ai pas fait ça dans le vide...mais bien avec l'objectif d'avoir une discussion sérieuse et adulte avec toi...Pas de pleure, pas de chialage, pas de oh mon dieu je fais pitier, pas de gueulage non plus...''

Maelya parlait calmement, mais ses gestes physiques démontraient une grande nervosité.

''Biensûre...c'est si tu le veux bien...je t'oblige pas...''

Je suis fatigué, je suis occupé, débordé, et je ne vois pas ce qu'il y a à discuter Maellya.

Dit il, irrité, néammoins, l'appel du café est le plus fort. Allant à la machine, il se prépare un expresso bien tassé.

En même temps, il prend le contenu d'une petite fiole qu'il range ensuite dans la poche du kangourou de Donoline, kangourou qu'il porte en ce moment.

Maelya arc les sourcils...et visiblement, elle était déçue de la réaction de Dorian...Tant pis la salade, elle la mangera tout seul...

''C,est pas parce que toi tu n'as plus rien à dire que moi je n'ai plus rien à dire non plus...''
Elle retourna s'asseoir...De toute façon ils étaient dans la même pièce, il n'aurait pas le choix de l'écouter.

''Alors toi parle pas, moi je vais parler...On dit que le sommeil porte conseil, alors suite après m,avoir fait dit mes 4 vérités...j'ai réagis sur le coup, je me suis ensuite cocuhé et j'ai réfléchi. Quand même beaucoup. Je n'avais pas réaliser les efforts que tu faisais pour moi...en fait je n'avais rien réaliser du tout. Ce qui est vraiment dommage, parce que au fond de moi ici, toi, Théodore, Lou' vous êtes pour moi une famille. C'est pour moi ici un port d'attache. Mais je sais j'ai foiré. Solidement en plus. Je suis consciente que je suis loin d'être parfaite. que je t'ai fait une mauvaise image et que tu ne veux plus nécessairement être ralié à moi. En fait j'étais même pas au courant que les magazines parlaient de moi...Et je dois dire quej'ai pas aimer du tout l'image qu'ils ont fait de moi. Et ej veux être d'autre chose...je veux pas être cette image....je ne suis pas qu'une saloppe. Du moins, j'en suis persuader...Je crois que j'aimerais devenir agente de groupes de musiques ou avoir ma propre boite éventuellement de production de disque. Je crois que ça pourrait être une bonne voie...''

Elle respira enfin...

''Je te demande deux semaines , deux semaines pour te prouver que je peux être quelqu'un de travaillant, d'Honnête et que je peux être bien...Si je ne réussi pas à te le prouver en deux semaines...tu peux me renvoyer du travail, me renvoyer officiellement d'ici...Car mine de rien, je me suis attaché à toi Dorian...pok je sais j,ai dit aps de pitié, pas de larme...Mais c'est la vérité, je peux pas la cacher...alors voilà je te demande deux semaines...''
Si il prenait le temps d'alelr voir dans sa tête, il pouvait voir qu'elle n,avait aucunement d,intention de manipuler. Elle était elle-même devant lui. Carte blanche...

Il porte la tasse à sa bouche, aspire le liquide délicatement,les yeux mi-clos en une expression de pur plaisir.

Peut-être n'a t'il pas écouté. Y croiriez vous? Moi pas.

Hum... Pourquoi je te donnerais de seconde chance? La première a déjà coûté assez cher merci. Je n'ai plus de temps ni de ressources à gaspiller.

Il tourne la tête vers elle, le noisette plongé dans le turquoise

Je hais le gaspillage.

Il détestait le gaspillage, elle se dirigea donc vers le réchaud et à la place en face d'elle, elle plaça une assiette de salade avec le poulet grillé et les rouleaux de printemps...

''alors si tu détestes le gaspillage...tu vas manger la nourriture que j'ai prit dans ton frigidaire...''

Elle avait un air de fille décider sur son visage...

''C'est pas vraiment une seconde chance...parce que quand on demande une seconde chance on se met à genoux et on pleure...J'ai l'air d'être à genoux et en pleure? Non...J'ai besoin de me prouver à moi que je peux être meilleure...mais j,ai aussi le besoin de le prouver à toi...''

Elle pinça ses lèvres un peu...

''Tu dis que tu n,as plus d'énergie à mettre sur moi, mais tu me gade un e,mploii et tu me donen sune référence à un logement....alors tu sais je vais toujours être dans les horizons...tu te débarassera aps de moi comme ça...''

Ce n'était pas des menaces dangereuses. Elle ne lui voulait pas de mal.

Je t'ai laissé ton emploi et une référence d'appartement tout simplement parce qu'il n'était ni juste ni convenable que tu te retrouve à la rue. Ton emploi je n'y mettrai pas un oeil, si ton boss décide de te virer, je n'y serai strictement pour rien.

Je ne vois vraiment pas ce que tu ose me demander encore, si ce n'est pas une seconde chance Maellya. Ce que tu m'a prouvé, tu l'a fait ces quelques mois passés. Tu veux que je les énumère?

Il dédaigne le repas posé, son aversion pour les ordres, surtout donné par une une jeune fille qui essaie manifestement de le manipuler encore, surpasse sa faim. Quoiqu'il n'a qu'une toute petite faim. la potion d'énergie le sustentant assez bien pour le moment.

Il ouvre le portable, et continue sa liste de plantes. Maelya n'a pas encore vu ce qui est advenu du magnifique jardin de la serre semble t'il. Il y écrit trois derniers noms de plantes, hoche la tête et pèse sur une touche d'envoi. Voila pour le carnage...

Sois claire et concise, je n'ai pas de temps à perdre en palabre inutiles. Qu'est ce que tu veux.

''Quand il s'agit des affaires et de contrat j'ai beau pas comprendre grand chose rapidement, mais toi quand on parle d'humanité tu ne comprends rien non plus...Tu as écouter tout l'heure quand j,ai dit pourquoi?"

Elle soupira...elle non plus n'avait plus faim...

''Je veux rester ici, c'est ça que je veux. Je veux que tu te rendes que je t'aime bien, que j,avais prit cette place et toi, et Lou et Théo comme place familial. Vous êtes ma famille...Voilà ce que je veux...rester ici et vivre avec ma famille...''

Elle croisa ses bras en ce callant contre sa chaise.

Dans une famille il y a du respect et de l'amour. Je n'en ai vu ni l'un ni l'autre de ta part.

Maelya regarda le sol...comment osait-il juger de son amour...Elle leva par la suite les yeux vers le multimilliardaire.

''C,est vrai du respect j'en ai pas vraiment eu. Je le cache pas. Mais l'amour...ça par contre...tu n'as pas le droit de dire que je t'aime pas. Pas le droit de dire que j'aime pas Théo et Lou'. Car c'est faux. Je ne recherche pas l'argent, la gloire...c'est pas mon but. Je cherche, je cherchais. Un endroit ou je pouvais me sentir chez moi. Une véritable famille...''

Les larmes commençait à naîtres à ses yeux. Mais elle ne voulait. Elle ravala sa salive et essuya rapidement ses yeux.

''Et cette place Dorian c'est ici...''

Il y a un moment de silence.

D'accord, tu as deux semaines, 336 heures, pas une de plus, pour me prouver ce dont tu es capable. à la moindre incartade, je ne serai pas aussi clément que je l'ai été.

Il referme le portable.

Alors cette salade?

Dit il, avec un mince sourire, pour conclure la trêve.

''Merci Dorian...''

Elle avait un mince sourire au lèvre. Du moins elle essayait de contenir son soulagement. Mais bon elle ne pu s'empêcher d'aller faire un câlin à Dorian et elle lui servit sa salade avec le poulet griller et les rouleaux de printemps. Elle s'en servit aussi ,et s'assit en face de lui. Fin de la chicane. Elle allait lui prouver qu'elle pouvait faire des efforts. Oh oui!