ancienne résidence Holmes. Pied à terre de Silence

Dans un coin isolé, pas trop loin de Londres, dans les collines boisées, Halewyn a acheté une antique fermette pour Shaylee Holmes, une ancienne esclave maintenant décédée. Les lieux sont calmes et apaisant, la maison se fond parfaitement dans le paysage verdoyant du Sud de l’Angleterre. Etrangement aucun chemin ne mène à la maison qui est entourée d’arbres d’une hauteur impressionnante. Le lierre et la nature foisonnante ont en grande partie recouvert la maison dont le toit de chaume apparaît par endroits. Deux marches de pierres mènent à une épaisse porte en bois massif.

Tout y est rustique mais en même temps très fonctionnel. Un poêle à bois, une cheminée de pierre prête pour recevoir les chaudrons de potions ou de ragoûts, une table en bois brut et quatre chaises. Un divan vétuste mais étonnamment confortable et une garde robe spacieuse. Des rideaux épais pendent aux fenêtres ce qui donne au lieu une atmosphère chaude et feutrée.

En haut, sous les combles, la chambre, éclairée par deux mansardes. Un lit a baldaquin trône au milieu de la pièce, d’épais rideaux noir en tombe de chaque coté. Deux tables de nuit et une lampe…cela peut paraître étrangement austèremais les propriétaires successifs n'ont aucun goût pour les fanfreluches et couleurs criardes. Une porte sur le coté gauche de la chambre donne sur une petite salle de bain. La pièce est petite et les murs sont couverts de carrelages blancs et noires, une baignoire dans le fond et un évier sur le coté avec un miroir au-dessus…

Au sous sol, dont l'accès est habilement dissimulé dans le placard, se trouves les objets magiques que Shay a gardé du manoir. Une grande bibliothèque recueille les ouvrages, un écrin de velours protégé magiquement y repose également contenant le collier de sa mère. La place est vaste, inoccuppée.

!

En haut d'une colline surplombant le pied à terre, Le coucher du soleil embrase la forêt de milles feux, teintant les immenses arbres de couleurs ébouissantes, d'un orangé aussi incandescent que de la lave en fusion.

Silence est un artiste dans l'âme. Chasseur de prime, ex enfant soldat. Un des rares qui survivent assez longtemps pour passer à l'âge adulte.

Montrant le panorama d'un geste large, violoncelle d'un côté et Maelya contre lui, Silence est fier. Fier de pouvoir partager ca. Il y a bien Emma dans le clan qui partage ses vues artistiques, mais elle n'a pas ce petit je-ne-sais-quoi de Maelya. Emma n'aime pas souffrir, elle.

Maelya fit le saut lorsqu'ils transplanèrent...un sorcier...

''Sorcier....tombe bien, je suis sorcière aussi....''
Et elle jetta un coup d'oeil, elle avait un immense sourire sur les lèvres. Elle se détacha de Silence enfin de mieu apprécier le moment et la couleur. Elle essayait de l'imprimer dans sa tête...cette vision. Elle la voyait très bien en peinture....

"Vis tu ici?''

Elle avait l'air d,une gamine émerveillé à Walt Disney.

Il hoche la tête, pointe une mince colonne de fumée en contrebas. Qui s'échappe d'entre les arbres.

Soudainement, il ramène Maelya à lui, caresse une joue, un piercing. Tire délicatement dessus, pas au point que ca fasse mal, mais juste un léger inconfort. Les prunelles de jais sont intenses, la lueur du reflet du soleil couchant se reflétant dedans.

Un croassement rauque attire alors l'attention du chasseur de prime relevant la tête, soudainement tendu, il regarde par où le volatile a parlé. Avant de se redétendre. La quesiton dans ses geste est explicite. Est ce que Maelya veut aller plus loin?

MAelya reste surprise lorsque Silence la ramène à elle. Mais néanmoins, il fait quelque chose qu'elle trouve terriblement sensuel...Une mince douleur légerte en tirant sur son piercing. Elle souris coquinement. Elle ne bronche même pas.

Un croassement fait détourner l'attention de l'homme, mais il revint après vers Maelya, visiblement, il semblait vouloir plus. Et Maelya n,était aps du genre à réfléchir dans ce genre de situation si c'était bien ou mal. Elle se leva sur la pointe des pieds et l'embrassa délicatement, puis elle approfondi le baiser, en terminant celui-ci par un mordillement de la lèvre du noir. elel avait enrouler ses bras autour de son cou. Il avait son accord...

Prenant la jeune demoiselle par les fesses, il la soulève aussi aisément qu'une plume avant de la plaquer sur l'écorce rugueuse d'un chêne. Les main du grand black dispensent ici et là de légère douleurs, à peine perceptible dans l'intensité du moment. Jamais il n'a de gestes envers les organes génitaux de la demoiselle.

Soudainement, un foulard de soie passse devant les yeux de la vélane, s'enroule lâchement autour de son cou. Alors seulenent ces doigts d'artistes s'égarent tils dans le pantalon, allant chercher un point très précis qu'il stimule de facon délicieusement douloureuse, de l'autre côté l'étranglant doucement , entourtillant le foulard de soie dans ses doigts. Les yeux noirs restent plongés dans le turquoise, Montrent une maîtrise absolue de ce qu'il fait, attentif au signe de plaisir comme de déplaisir sur le beau visage de la vélane.

La jeune vélane grimace de plaisir aux légerte douleur infligé par le grand black. Elle ne déteste pas..ces passionés, curieux et PLAISANT. Ce n'était amoureux, c'était sauvage...primal...Pas comme avec derick, non lui, elle l'aimait....

L'effet de l'étranglement et de la stimulation fait monter l'excitation de la vélane. D'ailleur, elle semble en demander plus...Mais elle commence elle même à prendre le contrôle. Ses ongles allants se planter dans la peau de son partenaire. Et même si il l'étrangle, à l'aide de ses jambes, la jeune vélane réussi à faire tomber Silence Par-terre. Elle est maintenant par-dessus lui... Les morsures dans le cou augmentant en densité...Jouer comme ca, faisait monter le côté violent de Mael.

:rate:

Faut dire qu'il se laisse faire un peu, accepte les morsures avec délices, comme un cadeau.

Soudainement, il relâche le foulard(Maelya devenait bleue) Et la chope par les cheveux. Lui dispensant sa ration de douleur. Violemment, bestialement, il l'écarte, lui déchire carrément le linge sur le dos, la prends, à moitié habillée et tirant sur les piercings de son dos, comme la chienne perverse et lubrique qu'elle est.

Malgré tout, il dose soigneusement sa douleur, son effet, histoire de ne pas gâcher la marchandise trop vite.

Un léger soupir, un dernier fort vigoureux coup de rein, et il la prend tendrement contre lui ce coup ci, le membre encore dans son anus et les mains doucement posés sur les seins, comme si en un sursaut pudique, il voulait cacher cette merveille aux yeux de la nature sauvage.

Pendant que Maelya s'étouffait carrément avec le foulard, il lui retira. Permettant à l'adolescente de reprendre son souffle. Mais à peine s'en remet elle, qu'il la tire violament par les cheveux, léger cri de douleur..suivit d'un mince rire de soulagement par la suite, comme aprèes chaque spasme de douleur. Cette sensation de soulagement d'avoir mal. Vous connaissez? Non? Parce que pour elle, cela prouve qu'elle vit, qu'elle est là et présente...

On lui arrache son linge. Elle s'en fou. Il la tire par les piercings. Un cri strident de sa part. Suivit d,un éclat de rire plus profond...Elle se sentait étourdit. mais ce n,était pas grave...C'était sauvage.

Et uen sensation toute nouvelle en elle. Elle ne s'était jamais faite pénétré par cette voie. Elel reste surprise. Mais une agréable surprise. Lui en réservait il bien d'autre des comme celle la? Un cri de douleur jouissif....Et soudainement, c'est beaucoup plus doux. Et telle une chatte en chaleur, elle se frotte la tête dans son cou en ronronnant presque.